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Les amendements de Jean Glavany pour ce dossier

49 interventions trouvées.

Je voudrais dire à M. Le Fur et à Mme Pécresse que, puisque nous sommes en période électorale et que nos compatriotes nous écoutent avec attention, ils ont droit au moins à une chose : la vérité. (Rires et exclamations sur les bancs du groupe UMP. Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.) Lorsque j'entends notre collègue prétendre que le...

Dans quelle République vous vous croyez ? On marche sur la tête ! Et vous laissez faire, monsieur le président ?

Monsieur le président, je voudrais parler de Sarah. C'est une jeune tunisienne de vingt-six ans, titulaire d'un master 2 en économie de l'université Dauphine, qui a été obligée, alors qu'elle était embauchée dans une entreprise française, de quitter le territoire national. Je voudrais parler de Nabil, jeune marocain de vingt-cinq ans, diplômé ...

..et qui a dû les vendre et quitter le territoire national parce qu'il n'avait pas d'autorisation de séjour. Je voudrais parler de Joanna, américaine de vingt-quatre ans, diplômée de Sciences-Po Paris, qui s'est vu proposer par l'entreprise qui voulait la recruter de tricher, c'est-à-dire, faute d'autorisation de travail, de se faire passer po...

Monsieur le ministre de l'intérieur, je ne sais si vous avez vu le reportage sur les sociétés de sécurité privées, diffusé par France Télévisions il y a une dizaine de jours, dans l'émission Envoyé spécial ; si ce n'est pas le cas, je vous conseille vivement de le visionner. Ce reportage met en évidence d'incroyables dysfonctionnements de ces ...

Monsieur le Premier ministre, comme vous ne voulez pas répondre sur l'avenir, peut-être accepterez-vous de répondre sur le passé. Il y a trois ans et demi, alors que vous aviez été nommé Premier ministre pour la première fois, vous aviez annoncé, dans une déclaration publique, honnête et en même temps très sévère pour votre prédécesseur, que l...

Il est vrai que, à cette époque, l'endettement de la France représentait 63 %, voire 64 %, du PIB ; il en représente maintenant 84 %.

Il est vrai que le chômage frappait 8 % de la population active ; notre pays compte aujourd'hui 700 000 chômeurs de plus. Alors, bien sûr, il y a la crise. (« Ah ! » sur les bancs du groupe UMP.) Personne ne peut ni ne doit la nier, ni sur vos bancs ni sur les nôtres. À condition, toutefois, de la mettre à sa juste place. De ce point de vue, e...

C'est Guéant qui est à l'origine des fuites médiatiques. Le secrétaire général de l'Élysée !

Même si nous ne sommes plus que quelques-uns sur les bancs du groupe SRC, je tiens à dire à M. Baroin qu'il n'est pas nécessaire de s'énerver. (Vives exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

Je le lui dis avec beaucoup de calme et de sérénité : le populisme ne se nourrit pas de certaines dénonciations, il se nourrit de certaines pratiques ; ce n'est pas l'exigence de vérité qui renforce l'extrême-droite, c'est l'absence de transparence. Il est ainsi des exigences que la raison d'État devrait reconnaître, et que vous feriez bien de ...

M. Rufin va même plus loin en déclarant que le Quai-d'Orsay est complètement dépossédé des dossiers africains, et que tout est concentré entre les mains d'un seul homme, le secrétaire général de l'Elysée, qui agit d'autant plus librement que, préfet, il ne connaît pas véritablement l'Afrique et qu'il ne rend compte ni devant le Parlement où s...

Ma question sera simple, mais je pense que vous en mesurerez toute la portée : n'est-il pas temps d'ériger, dans ce domaine aussi, une « muraille de Chine » entre les intérêts privés et l'action de l'État ? (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)

Merci monsieur le président. Monsieur le ministre Éric Woerth, depuis des semaines et des semaines, en notre qualité de parlementaires, nous vous interrogeons sur les projets du Gouvernement en matière de retraites. Vous ne répondez pas à nos questions. Vous maniez l'invective avec beaucoup de maestria et de démagogie, en nous reprochant de n...

Monsieur le ministre, ma question sera simple : que pensez-vous de cette dévalorisation de la parole publique du Président de la République ? (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)

Il est temps ! Cela fait des années que cela dure et vous n'avez rien fait ! En revanche, pour la burqa, vous vous êtes précipités !

N'oubliez pas de citer le Président de la République : « Je ne le ferai pas parce que je n'ai pas reçu de mandat du peuple ! »

Monsieur le Premier ministre, le sujet est sérieux et mériterait que l'on en débatte d'une manière plus transparente et plus rigoureuse. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.) Vous entretenez sciemment la confusion entre la retraite à soixante ans et la durée de cotisation. Or il ne faut pas confondre la retraite à soixante ans, une conqu...

Trahison pour trahison, monsieur le Premier ministre, lorsqu'un Président de la République affirme que le droit à la retraite à soixante ans sera maintenu, puis revient sur cet engagement pris devant tous les Français, est-ce que ce n'est pas une trahison ? (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Deuxièmement, Nicolas Sarkozy ...

Ce n'était pas du tout la question ! M. Martin ne vous a pas parlé de la Grèce !