Découvrez vos députés de la 14ème législature !


Les amendements de Jean Glavany pour ce dossier

49 interventions trouvées.

Monsieur le président, mes chers collègues, après le discours de Constantine, en Algérie, après celui de Latran, voici donc le discours de Ryad. Un discours du Président de la République où Dieu n'est plus cité à chaque page mais à chaque ligne, créant désormais un problème de fond dans la République. Entendons-nous bien : il n'est pas questio...

Deuxièmement, quand le Président de la République s'est adressé aux étudiants de Constantine en disant « nous », nous pensions benoîtement qu'il se référait aux Français. Pas du tout : il voulait dire « nous, les chrétiens » ! Et les autres ? Les juifs français, les musulmans français, les athées et les agnostiques sont-ils encore représentés p...

parce qu'il lui manquera toujours la radicalité du sacrifice de sa vie et le charisme d'un engagement porté par l'espérance. D'où ma quatrième question : cette nouvelle hiérarchie, qui place l'instituteur, fonctionnaire de la République assumant une mission de service public, sous le prêtre, n'est-elle pas une insulte au dévouement exemplaire...

Je conclus. Mes questions peuvent se résumer en une seule : dans cette nouvelle hiérarchie des valeurs qui s'esquisse, ces millions de Français et de Françaises qui ne sont pas croyants

Monsieur le président, vous ne présidez pas l'UMP, mais l'Assemblée nationale ! (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)

Avant de poser ma question, je voudrais déplorer, monsieur Bertrand, le grand numéro de donneur de leçons censé tenir lieu de réponse à notre collègue Féron. (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Je vous en prie.

Le récent rapport de l'IGAS, qui fait du dossier médical personnel, que vous avez mis en place, un modèle d'insincérité contraire à toutes les règles du service public, aurait pourtant dû vous inciter à un peu de modestie. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.) Monsieur le Premier ministre, je...

Je conclus. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Total affichant aujourd'hui des profits considérables, vous avez là une possibilité d'agir concrète. Les moyens ainsi récoltés vous permettraient de mettre en oeuvre le chèque transport, disposition que vous avez votée l'an dernier, mesdames et messieurs...

Cette disposition, jusqu'ici complètement inopérante parce que facultative, nous vous proposons de la rendre obligatoire grâce à cette recette, au bénéfice du pouvoir d'achat de tous les Français. Voilà deux propositions, monsieur le Premier ministre : je vous demande d'y répondre concrètement.