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Elle conduira inexorablement à la disparition de l'élevage plutôt qu'à sa modernisation. Je me devais de vous le dire avant qu'il ne soit trop tard. (« Bravo ! » et applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
C'est tout à fait vrai !
Très bien !
J'invite mes collègues à considérer, par-delà l'idéologie, que ce fichier est protecteur pour les enfants.
Certains enfants déscolarisés sont effectivement prisonniers de sectes, échappent à tous les contrôles, et l'on ne sait où ils disparaissent. D'autres enfants sont maltraités, séquestrés par les parents, voire assassinés. Je citerai ainsi l'exemple de la disparition pendant neuf mois d'un petit garçon, dans un département voisin du mien. Ce pe...
Monsieur Bloche, pour avoir été enseignante, je me rends bien compte que c'est sur la base de ses résultats que l'on évalue un établissement et non en fonction de l'absentéisme. Avant d'envoyer leur enfant dans un établissement, les parents essaient de savoir quel est le taux de réussite au baccalauréat, quel est le taux de passage au collège o...
Très bien !
Bien sûr !
En ce qui me concerne, en tant qu'élue de la montagne, l'amendement présenté par le rapporteur me convient tout à fait. Il répond aux attentes des élus de la montagne, qui se sont effectivement mobilisés, autour de l'ANEM et de son président, pour qu'aucun seuil n'existe dans les zones de montagne, compte tenu des particularités. À ma connaiss...
fixé comme un objectif pour les autres zones, même si l'on peut y déroger, parce que le fait d'établir ce seuil donne un impératif important pour les communes qui doivent se regrouper pour atteindre des proportions convenables. Si nous faisons complètement disparaître ce seuil des 5000 habitants, alors nous aurons non plus une dérogation au se...
Députée d'un département rural et même de montagne, j'ai eu l'occasion d'expliquer aux élus des Hautes-Alpes le mode de scrutin initialement proposé : un scrutin mixte, moitié proportionnel, moitié rattaché à un territoire. Je n'y étais pas personnellement défavorable. Mais les élus ruraux, dont vous parlez tant, mes chers collègues, se sont à ...
Nous souhaitons donner, sur la base d'un scrutin à deux tours, une véritable légitimité à ces nouveaux élus, en faisant en sorte qu'ils recueillent plus de 50 % des voix. Pour cela, nous proposons que seuls les deux candidats ayant obtenu le plus de voix au premier tour puissent se maintenir au second. M. le président. L'amendement n° 28 recti...
Vous comprenez bien la préoccupation des signataires de ces amendements : il s'agit d'harmoniser les modes de scrutin, parce que les gens n'y comprennent rien ! Je dirai même plus : les candidats eux-mêmes se demandent s'ils vont pouvoir se maintenir au second tour. Je considère que la proposition présentée par le rapporteur et soutenue par le...
L'amendement du Gouvernement est non seulement nécessaire, mais indispensable : ce tableau répond au souci de clarté que nous avons tous sur ces bancs. Nous devons pouvoir rentrer chez nous en ayant une idée parfaitement claire du nombre d'élus qui vont siéger comme conseillers territoriaux. C'est ce que nos collègues élus attendent de nous. E...
Je considère que cela est un progrès. Ne me dites pas que nous serons surreprésentés ; c'est avant que nous étions sous-représentés. Nous étions quatre sur 123 ; nous serons désormais quinze sur 224. Certes, le conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur verra ses effectifs augmenter
Mais globalement, en additionnant les élus des six départements de Provence et les conseillers régionaux actuels, nous avions 359 élus ; nous allons passer à 224. Autrement dit, nous réduisons bien le nombre global d'élus
tout en améliorant la représentation des petits départements au conseil régional. Vous ne pouvez pas vous en plaindre : vous-mêmes, ce matin, vous avez défendu leur spécificité et nous en étions d'accord. Nous sommes parvenus à un équilibre. Je souhaite que nous continuions à aller dans le sens de la clarté, en réponse aux interrogations des ...
J'ai été conseillère générale, je sais de quoi je parle !
Quand on est quatre, on n'est pas grand-chose !
Nos débats montrent la difficulté que nous avons à nous réformer, à intégrer l'innovation et la modernité dans la vie politique. En tant que gaulliste, je ne pense pas, cher Jean-Pierre Grand, que le gaullisme soit le conservatisme.