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Vous êtes surtout attachés à ce que rien ne change !
Si je m'accorde souvent avec les interventions de M. Chassaigne sur les territoires ruraux, je m'étonne ici de son conservatisme.
Il semble que vous ne vouliez rien changer. Or si l'on ne veut rien changer, rien ne sert de voter aujourd'hui une réforme des collectivités territoriales. Nous savons tous que le principe de la clarification des compétences constitue le fondement de cette réforme. Les élus en ont tout simplement assez de déposer trente-six dossiers pour obteni...
Nos concitoyens n'y comprennent plus rien : les élus ne sont pas les seuls à demander des subventions, c'est aussi le cas des associations, des agriculteurs, des professionnels Les gens ne savent plus qui fait quoi, qui donne quoi. Cette clarification est réclamée, celle que nous proposons est rationnelle et prévoit une application souple. Les...
Un instant, monsieur le président, que je retrouve mon texte.
Il est défendu.
Je retire mon amendement, monsieur le président. (L'amendement n° 20 rectifié est retiré.)
Il est défendu. (L'amendement n° 281, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Tout à fait !
D'autres accords ont-ils été signés, notamment avec les voisins de l'Uruguay ?
Alors que les textes concernant les Pays-Bas et la Suisse, tous deux pays européens, sont qualifiés de convention, ceux avec les Caraïbes portent le nom d'accords. Cela me semble indiquer que la qualification de convention leur confère une plus grande solidité. Je partage par ailleurs la réserve de mes collègues vis-à-vis de ces textes.
Je souhaiterais comprendre, monsieur le ministre, ce qui s'oppose à l'adoption de ces amendements. J'entends ce que vous avez dit au sujet du code des marchés publics, mais on peut très bien tenir compte de ce code dans le cadre d'un appel d'offres exigeant une certaine qualité. Je ne vois donc pas ce qui s'oppose à l'adoption des amendements, ...
Pour ma part, je voudrais simplement dire qu'il me paraît normal que les normes soient adaptées, dès lors que les conditions de production diffèrent totalement, monsieur le rapporteur, avec toute la considération que j'ai pour votre travail. Il est quand même particulièrement difficile de produire en zone de montagne. Si les normes sont les mê...
Je voudrais donc vraiment plaider pour cet amendement et redire, de surcroît, que ce texte ne fait aucunement référence à la montagne, qui est un territoire particulier.
Il me semblerait tout à fait opportun que l'on tienne compte des difficultés de production dans les zones de montagne, au moins par un amendement. Ces difficultés ne sont pas totalement compensées par les primes, même si celles-ci sont indispensables à la survie de l'agriculture de montagne. Les difficultés restent. Sans ces aides, il est évid...
Moderniser notre agriculture, telle est l'ambition, monsieur le ministre, du projet de loi que vous nous présentez. Pour en avoir longuement débattu, article par article, avec les organisations professionnelles de mon département, j'ai conscience de devoir exprimer aujourd'hui la situation, les attentes et les problèmes des agriculteurs hauts-a...
Pourtant, ce sont des montagnards. Forts d'une volonté de s'accrocher à leurs terres, ils se montrent ainsi constructifs malgré leurs difficultés et reconnaissent les avancées du projet de loi de modernisation agricole que vous nous présentez et ils en attendent des résultats. C'est donc dans cet esprit que je traduis leurs attentes : oui à un...
Certains troupeaux ont été victimes de trois attaques en quelques jours, d'autres de cinq attaques en deux semaines. On les redescend progressivement dans les bergeries, ce qui n'est pas sans poser de gros problèmes pour l'alimentation des bêtes et pour l'entretien de la montagne. Comment accepter le sacrifice organisé par l'État de l'élevage ...
En cette période de restrictions budgétaires, comment peut-on admettre qu'un loup, si l'on additionne le coût de la protection, des indemnisations et des salaires de la gestion des deux cents spécimens recensés par le ministère de l'écologie, coûte environ 50 000 euros par an aux contribuables ? C'est une insulte aux éleveurs et à toute la prof...
Il s'agissait d'un corps de spécialistes capables de « débarrasser le pays de ces bêtes farouches ». Aujourd'hui, nos agriculteurs courent après des loups qu'ils n'attrapent jamais. Aussi plaiderai-je pour le droit à la légitime défense des troupeaux par les éleveurs. Quant aux mesurettes proposées par le protocole et l'arrêté consacrés au lou...