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je voudrais ajouter, avec toute l'amitié et le respect que j'ai pour M. Bodin et M. Mallié, que, contrairement à ce qu'indique l'exposé des motifs, cet amendement n'est pas cohérent avec la politique européenne du Président de la République et de la France à l'égard des négociations de l'Union européenne avec la Turquie.
En effet, nous sommes favorables à la négociation, pour aboutir au partenariat privilégié. Nous avons d'autres partenaires à l'intérieur de l'Europe, l'Autriche par exemple, qui partagent eux aussi cette position. La France se prononce pour que les négociations aboutissent à un partenariat privilégié et non à une adhésion. D'ailleurs, elle est...
sur la scène économique, sur la scène politique, sur la scène diplomatique, pour les relations avec le Proche-Orient, pour les relations avec l'Iran, pour les relations dans toute cette région.
Moi qui suis hostile à l'entrée de la Turquie je crois avoir été l'un des tout premiers dans cet hémicycle , je considère que ce serait une grave erreur de voter cette suppression qui, comme l'a très bien dit le rapporteur général, n'aboutirait pas, dans sa forme, à l'objectif que vous visez.
Il a raison !
C'est en effet un cavalier. Mais pour Jacques Myard, c'est normal !
Très bien !
Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, tous les orateurs en sont convenus : nous voici désormais au pied du mur. Chacun mesure aujourd'hui l'inanité des égoïsmes nationaux face à la crise économique. L'avenir passe évidemment par plus d'Europe. Ayons le courage de reconnaître que notre ...
Notre faiblesse fut sans doute, comme l'écrivait récemment le président Van Rompuy, de nous endormir sur nos lauriers au moment du crédit facile permis par l'euro. Aujourd'hui, les temps sont mûrs pour l'action. On oppose souvent à tort les positions françaises et allemandes. En fait, chacun a su faire un pas vers l'autre : la France en s'enga...
Une fois de plus, les deux partenaires ont raison. Oui, la discipline budgétaire est une nécessité. Ce n'est pas de la vertu, mais une question de survie, sans laquelle la spéculation ne cessera de saisir de nouvelles proies. L'Allemagne le sait plus que tout autre, comme nous le rappelait hier Werner Hoyer, ministre allemand chargé des affair...
Il faudrait un décalage !
En engageant, avec l'accord de Cotonou de 2000, les négociations sur les accords de partenariat économique, l'Europe a-t-elle trahi la responsabilité particulière, la relation de confiance qui la liait depuis la convention de Yaoundé avec les pays en développement des zones Afrique, Caraïbes et Pacifique ? Au nom de la compatibilité avec les r...
Vous faites du cinéma !
Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le ministre, à travers la Grèce, c'est notre monnaie, l'euro, qui est gravement, violemment menacée par les abus de la spéculation sur les marchés financiers.
Attaquer l'euro, c'est attaquer l'Europe, c'est donc attaquer la France. Il nous faut par conséquent venir en aide à la Grèce, et nous le ferons. Le message au monde doit être sans ambiguïté : la solidarité des membres de la zone euro n'est pas qu'une promesse, c'est une réalité. Après nous avoir protégés du pire pendant la crise financière so...
Le Canada aussi !
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État chargé des transports, mes chers collègues, avec les présidents Jean-Luc Warsmann et Christian Jacob, j'ai proposé le thème de notre débat d'aujourd'hui, la sûreté du transport aérien dans le contexte de la lutte contre le terrorisme, d'une part, parce c'est à l'évidence un sujet essentiel da...
C'est vrai !
Monsieur le président, madame la secrétaire d'État, mes chers collègues, je voudrais, à mon tour, exprimer une pensée pour M. Pandraud qui vient de nous quitter, notamment parce qu'il a joué un très grand rôle à la tête de la délégation pour l'Union européenne, à laquelle il a donné un essor très important, et parce que, sur un plan plus person...
Madame la présidente, madame la ministre, mes chers collègues, c'est l'application pratique de trois des quatre libertés fondamentales sur lesquelles a été construit l'édifice du traité de Rome qui est en jeu dans la mobilité des patients, c'est-à-dire les soins transfrontaliers : la libre prestation de services, la libre circulation des person...