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Nous n'étions pas plus nombreux en séance hier soir !
Oui, monsieur le président.
Tout au long de ce débat, nous entendons répéter les mêmes choses. Vous venez de démontrer, monsieur Ayrault, que, à Nantes comme dans d'autres villes, vous pouvez ouvrir deux dimanches, cinq dimanches ou aucun. Ce que je ne comprends pas, c'est que vous ne faites pas confiance aux maires des zones touristiques. Le maire est le verrou, le levie...
Exactement !
Cela ne changera pas demain !
C'est exact !
Monsieur le président, en réponse à la motion de renvoi en commission, je souhaite porter à la connaissance de notre assemblée, les éléments d'information suivants. Dans le cadre de l'examen de la présente proposition de loi, la commission s'est réunie à quatre reprises ; nous avons eu de très longs échanges huit heures exactement qui auro...
dont rien ne permet de dire qu'il surgit tout à coup à l'ordre du jour de l'Assemblée, ou qu'il n'a pas fait l'objet de toute l'attention nécessaire. En conséquence, chers collègues, à ce stade, il n'est donc pas opportun de reprendre le travail en commission. Il est préférable d'examiner au plus vite le détail du texte qui nous est soumis av...
Mon cher collègue, écoutez-moi d'abord.
Monsieur le président, j'aimerais pouvoir m'exprimer.
Dans un débat difficile, le premier danger est la caricature et l'exploitation de la peur. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. « Oh ! » sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Une idée simple, même fausse, a en effet toujours plus de puissance qu'une idée vraie mais complexe. Or j'ai été stupéfait des contrevérités proférées par le ...
Non seulement, à l'en croire, la moitié de la population française résiderait dans des zones où l'on travaille le dimanche, mais le maire n'aurait pas à donner son avis ! (« À Paris ! » sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Or l'un des points essentiels du texte est de placer le maire au coeur du système, et le président Ayrault, mes chers col...
La raison en est simple : j'écoute les salariés de ma ville, et la situation ne l'exige pas. Je suis autant attaché que vous, chers collègues de l'opposition, au repos dominical ; mais j'estime n'avoir pas le droit d'occulter certaines réalités : dans plusieurs zones, comme à Marseille, les salariés tiennent à travailler le dimanche des réfé...
Il est d'usage, dans notre pays, de respecter les acquis.
Un référendum dans toutes les zones concernées montrerait que les salariés sont d'accord pour travailler le dimanche. Nous savons par ailleurs que les étrangers passent souvent trente-six heures à Paris, avant de visiter Rome, Londres ou Madrid : pourquoi, si ce séjour comprend le dimanche, ne pas leur donner la possibilité de consommer ? Tels...
N'importe quoi !
J'en parlerai, mon cher collègue. S'agissant des concertations, je rappelle que M. le rapporteur a mené trois vagues d'auditions des partenaires sociaux.
Vous dites que nous sanctionnons les chômeurs, alors que nous venons d'améliorer l'indemnisation du chômage partiel ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Ces auditions ont permis d'élaborer des amendements qui prévoient de laisser une large place aux accords collectifs, y compris dans les zones touristiques. En outre, un amendement de M. Vercamer tend à imposer une obligation de négociation. Vous ne cessez d'entretenir la confusion sur le nombre de communes concernées 500 ou 5 000 par la no...
C'est vraiment n'importe quoi ! Qui a écrit ce papier ?