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Sans la gestion avisée de la Banque centrale européenne, coordonnée avec la présidence de l'Union, la panique financière n'aurait pas butté contre notre première digue de survie. Surtout, sans l'émergence spectaculaire, dimanche dernier à Paris, d'un gouvernement économique de l'Europe que vous appeliez de vos voeux, monsieur Moscovici , nos...
Bien entendu, madame la ministre, le sommet de demain traitera avant tout de l'urgence absolue : la crise financière. Cependant, le chantier des institutions reste important. Une feuille de route doit être dessinée pour sortir de cette crise. Il faudra apaiser les inquiétudes du peuple irlandais, il faudra que les ratifications suédoise, tchèqu...
La crise financière nous apprend au moins une chose : le moindre relâchement dans la vigilance politique se paie au prix fort.
C'est pourquoi nous devons tous ensemble nous atteler à une tâche essentielle : définir les règles de gouvernance, financières mais aussi économiques, aptes à remettre l'économie mondiale sur les rails de la croissance et à écarter la résurgence de telles crises. Madame la ministre, nous voterons votre plan. Je trouve d'ailleurs paradoxal qu'a...
Demain, au niveau mondial, grâce à sa force d'impulsion, l'Europe pourra entraîner nos amis américains et les convaincre de la nécessité d'une régulation mondiale. (Applaudissements sur de nombreux bancs des groupes UMP et NC.)
Il aurait fallu dire tout cela hier soir lors de la discussion générale !
Très bien !
Nous avons un très bon président !
Monsieur Lagarde, que se passe-t-il à l'heure actuelle ? Les textes parviennent à la délégation pour l'Union européenne qui donne son avis très en amont, contrairement à ce que vous semblez soutenir puis la délégation les transmet à la commission compétente, dont l'avis prévaut s'il est différent de celui de la délégation. Quand le gouverne...
C'est totalement faux, monsieur Myard. Il ne s'agit certes que d'un avis. Il n'en va pas de même pour le Danemark, où des instructions très précises sont données par le arlement, ce qui restreint d'autant les marges de manoeuvre du gouvernement et le met en difficulté lors des discussions. Contrairement à ce que dit M. Myard et il le sait par...
Contrairement à ce que vous avez indiqué, monsieur Blisko, cet amendement avait déjà été préparé par mes soins avant même l'ouverture des discussions ici.
Le problème, c'est qu'il n'a été pris en compte que plus tard. Lorsqu'il s'agit d'un pays qui pose un problème majeur, et il est évident que l'entrée de la Turquie ou de l'Ukraine changerait, de par l'importance du pays, la nature de l'Europe, il est légitime de recourir au référendum. Pour d'autres pays, en revanche, comme la Macédoine, l'Ass...
L'Assemblée et le Sénat.
Tout à fait !
Ce n'est pas vrai !
Et voilà !
Celle-là, il l'a tenue !
Évidemment !
Monsieur le président, monsieur le ministre des affaires étrangères, à la veille de la présidence française de l'Union européenne, et après la mauvaise nouvelle du « non » irlandais au traité de Lisbonne, il est évidemment indispensable de ne pas céder au découragement. Il faut, au contraire, mettre en perspective les priorités de notre préside...
Nicolas Sarkozy a raison : la question du pétrole cher n'est pas seulement un problème français, c'est le problème de tous les Européens. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)