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Interventions en hémicycle de Pierre Lequiller


441 interventions trouvées.

alors que nous abordons les articles du projet de loi constitutionnelle consacrés à ce sujet, j'espère qu'il sera possible de s'exprimer. Comme le disait M. le secrétaire d'État, et comme je l'indiquais tout à l'heure, le Parlement pourra désormais se saisir de tout texte. Évidemment, les textes qui lui étaient soumis jusque-là comme les dire...

Pour l'efficacité du contrôle il est préférable de se cantonner aux principales décisions et de nous réjouir du fait que le contrôle s'appliquera désormais à l'ensemble des textes.

Je suis tout à fait d'accord avec les propos de M. Warsmann au sujet de l'amendement de M. Garrigue et j'en prends bonne note. Je crois aussi qu'il serait utile que la commission chargée des affaires européennes puisse s'exprimer en séance publique car les textes dont nous débattons peuvent souvent être abordés sous l'angle européen. Monsieur ...

Il est vrai qu'il s'agit de la Turquie, mais il ne s'agit pas que de la Turquie. Aujourd'hui, l'avenir et les frontières de l'Europe sont d'autant plus incertains que de nouveaux candidats, encouragés par les derniers élargissements, souhaitent très ardemment entrer dans l'Union européenne je pense à l'Ukraine, à la Biélorussie, à d'autres pe...

Je remercie M. Garrigue et Mme Guigou de leurs bonnes intentions à notre égard, mais, comme je l'ai déjà clairement dit lors de mon audition devant la commission des lois, je ne souhaite pas que la délégation pour l'Union européenne devienne une commission permanente. Notre délégation a deux spécificités : d'une part, par le vote de résolution...

Monsieur le président, madame la garde des sceaux, monsieur le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement, mes chers collègues, c'est avec une profonde satisfaction que je constate que le projet de loi de modernisation des institutions a pris en compte l'une des missions décisives du Parlement, sur laquelle on n'insiste jamais ass...

Je termine, monsieur le président, mes chers collègues, en insistant à nouveau sur l'ambition du texte qui, là comme ailleurs, présente de réelles opportunités pour notre Parlement. Sur l'Europe, le projet nous donne les moyens de peser demain sur les politiques de l'Union.

C'est pourquoi, en tant que président de la délégation, et après avoir organisé en délégation un échange de vues montrant notre large approbation des nouvelles dispositions, je vous fais part de mon avis clairement favorable. À la veille de la ratification par les vingt-sept États membres je l'espère , du traité de Lisbonne qui donne une pl...

Monsieur le président, messieurs les ministres, mes chers collègues, en ce jour historique, le groupe UMP est fier. (Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche et du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.)

Fier de voter pour la troisième fois « oui » au traité de Lisbonne : le 16 janvier dans cet hémicycle, puis le 4 février à Versailles et aujourd'hui pour la ratification du traité.

Fier parce que c'est la seule attitude cohérente, responsable et positive pour la relance de l'Europe.

Pour nous, c'est résolument dans l'Europe que se joue le destin de la France comme c'est de la France et de ses vingt-six partenaires que dépend le destin de l'Europe. Nous respectons bien sûr le vote du peuple français en 2005.

Le Président de la République a réussi à introduire des modifications dans le traité prenant en compte les inquiétudes et critiques exprimées pendant le débat référendaire. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)

Mais, aujourd'hui, cessons de regarder l'Europe à travers le prisme franco-français. Le véritable enjeu, ce n'est pas le mode de ratification, même si la Constitution française prévoit deux modes juridiquement égaux et même si le candidat Nicolas Sarkozy avait annoncé partout, loin de toute démagogie électorale, qu'il passerait par la voie parl...

Pour sortir de l'impasse, il fallait faire vite et aller de l'avant parce que la crise avait trop duré. L'Europe consiste à tendre la main aux autres. N'oublions pas que dix-huit pays avaient voté « oui ».

N'oublions pas qu'ils ont accepté de voter à nouveau, car il ne s'agit pas du même texte. (Exclamations sur les bancs du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.) Mes chers collègues, le véritable enjeu qui devrait nous rassembler sur tous les bancs, c'est de restaurer la place de la France en Europe au moment où elle va prendre la prési...