441 interventions trouvées.
L'indépendance énergétique de l'Europe doit faire l'objet de négociations européennes, et non pas bilatérales, face à la puissance des pays producteurs de gaz ou de pétrole. C'est un sujet sur lequel nous avons travaillé à la délégation, en liaison avec la commission des affaires économiques, avec le rapport de nos collègues André Schneider et ...
Je peux attester de la forte attente de nos partenaires européens, ayant reçu avec la délégation dix-huit commissions partenaires des affaires européennes des parlements nationaux, depuis deux mois. Nos homologues voient dans nos priorités une logique, une cohérence. C'est d'abord l'Europe des résultats qui convaincra lescitoyens !
Nous avons d'ailleurs tenu à auditionner Xavier Bertrand, qui a montré son ambition pour faire avancer concrètement l'agenda social européen.
l'Union européenne. Quand j'entends le parti communiste crier victoire à propos du « non » irlandais,
cela me fait sourire. Les arguments des Irlandais, c'était « Surtout pas d'Europe sociale ! »,
« Surtout pas d'harmonisation sociale et économique ! », « Surtout pas d'augmentation d'impôt ! »
Le « non» irlandais au référendum sur le traité de Lisbonne n'affectera pas nos priorités. C'est un défi de plus que nous devons relever.
Le gouffre qui s'est installé Jean-François Copé en a parlé entre les institutions nationales et européennes et les peuples n'est plus supportable. Le temps d'une Europe construite par le haut est révolu. (« Enfin ! » sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.) La première des obligations est de réduire la dist...
Je crois que la clef de la réussite européenne, c'est l'association des parlements nationaux à la marche européenne.
Je le dis depuis longtemps et j'en ai reparlé récemment avec le président de la Commission, M. Barroso, et le président du Parlement européen, M. Pöttering : il faut que les députés nationaux se rendent à Bruxelles et à Strasbourg pour assister aux commissions du Parlement européen ; il faut que les institutions européennes se déplacent plus en...
Dans cette volonté de rapprocher toujours plus les citoyens dudébat européen, je salue l'initiative de Jean-François Copé de lancer, au nom du groupe UMP, l'idée de « coproduction européenne ». Des améliorations se sont déjà produites pour placer l'Europe au coeur de nos débats. La délégation y travaille quotidiennement à travers ses auditions...
Car l'Europe ne consiste pas à discuter entre Français, l'Europe consiste à discuter avec les autres Européens. La présidence française a bien préparé ses priorités. Elle va avoir en plus à gérer les conséquences du « non » irlandais. Dix-huit pays ont déjà ratifié, et il est indispensable que se poursuive le processus de ratification.
À la veille de la Présidence française, l'Europe ne doit pas devenir l'otage de considérations de politique intérieure.
La cause est suffisamment importante et belle pour que nous dépassions nos clivages habituels. Notre défi est une urgence majeure, parce que, pendant que l'Europe piétine, la Chine, l'Inde, le Brésil (« Ah ! sur les bancs du groupe de la Gauche démocrate et républicaine), la Russie, les États-Unis, et bien d'autres encore, marquent des points ...
Les 48 heures, c'est pour les autres pays.
Il parle également l'allemand !
À la veille de la présidence française de l'Union et avec le redémarrage de l'Europe déjà quatorze pays ont ratifié le traité de Lisbonne , il me semble que l'excellent projet qui nous est présenté n'insiste pas assez sur la revalorisation du Parlement en matière européenne. L'article 32 est très important à ce sujet. Il parachève une conquê...
Contrairement à ce que prétend M. Myard, à la délégation pour l'Union européenne, nous examinions les textes sous l'angle de la subsidiarité avant même que le traité ait été mis en application, puisque la Commission européenne avait pris l'initiative de nous envoyer directement les textes. C'est ainsi que la délégation a pu émettre un avis rése...
Désormais, nous pourrons nous exprimer sur tous les documents émanant des institutions de l'Union, et ce au moment de notre choix, sans qu'il soit nécessaire d'attendre que le Gouvernement nous les transmette, puisqu'ils nous sont adressés directement, je l'ai dit, par les institutions européennes. Par ailleurs, le Gouvernement continuera bien ...
Monsieur le président, nous sommes tous deux très attachés à ce que l'on puisse parler de l'Europe dans cet hémicycle :