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Que l'opposition critique la politique du Gouvernement, qu'elle cherche la faille, c'est de bonne guerre. C'est son rôle, mais elle doit le faire avec discernement. Il y a des sujets sur lesquels elle a un devoir moral de collaborer avec le Gouvernement. La réforme de l'État en fait partie. J'espère que vous reprendrez rapidement vos esprits
et que vous nous rejoindrez pour travailler de manière constructive à la réussite de cette politique de réforme de l'État.
Vu l'ampleur de la tâche, vous ne serez pas de trop. Sur le contenu des mesures et leur esprit général, je ne peux qu'exprimer ma satisfaction. Enfin, l'État se met à adopter une vision plus entrepreneuriale, en examinant les coûts, en faisant l'inventaire de ses actifs et en ayant une stratégie de gestion rationnelle. L'exemple des progrès r...
En cela, la LOLF est un outil formidable, celui sans lequel rien ne pourrait se faire. La simplification est une nécessité, et, dans ce domaine, je trouve les premières propositions et les premières économies réalisées un peu timides. En l'état actuel, une économie de 7 milliards sur un budget de dépenses de 272 milliards, c'est insuffisant ! ...
Nous pouvons vous apporter notre parfaite connaissance du terrain et des préoccupations des Français, ce qui fait parfois défaut dans vos services.
Associez-vous aux parlementaires, impliquez-les davantage. Cela permettra, dans bien des cas, d'éviter des erreurs de communication et des cafouillages regrettables.
En qualité de député issu de la société civile, j'ai la conviction que c'est en se lançant à corps perdu dans l'examen approfondi du moteur de l'État, que nous ferons avancer les choses et que nous serons utiles à nos concitoyens. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Je voudrais revenir à ce que vient de dire Michel Bouvard. Dans sa rédaction actuelle, le texte prévoit que le salarié pourra se faire assister par une personne choisie au sein de l'entreprise ou par un conseiller inscrit sur une liste dressée par l'autorité administrative. De son côté, l'employeur pourra se faire assister si le salarié a lui-...
et de prévoir qu'il puisse choisir de se faire assister par un conseil extérieur à l'entreprise, notamment un avocat spécialisé en droit du travail. Salarié comme employeur peuvent aujourd'hui recourir aux services d'un avocat, cela va de soi. Même si celui-ci n'est pas autorisé à participer à l'entretien préalable, tout le monde sait qu'il i...
Il peut en effet intervenir aussi après le licenciement, devant le conseil des prud'hommes. C'est précisément ce que je voudrais éviter en lui permettant d'assister aux négociations en amont. Or ce projet de loi ne prévoit pas la présence d'un avocat au cours des entretiens préalables à l'élaboration d'une convention de rupture du contrat de t...
Notre souci était d'éviter des procédures inutiles devant les prud'hommes pour des questions de formes. De plus, le recours à un avocat se révèle d'autant plus onéreux que la procédure engagée est plus longue. Toutefois, compte tenu des arguments avancés par le ministre, je retire mon amendement, tout en espérant qu'il abordera le sujet dans l...
Vous êtes seul à vous interroger !
Votre intervention, monsieur Paul, était hors sujet : vous n'avez pas du tout compris la philosophie du CNE ! (Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche et du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.) Pour ma part, j'ai embauché des personnes en CNE, dont j'ai d'ailleurs transformé par la suite le ...
Le rapport que vous citez est sorti il y a plus d'un an !
Absolument !
C'était mieux que rien !
C'est vrai !
On s'aperçoit, une fois encore, des effets pervers de la rétroactivité. Nous n'allons pas revenir à l'amendement précédent, puisque nous l'avons retiré. Mais les chefs d'entreprise qui ont signé les 27 000 contrats de ce premier trimestre sont en train et ceci figurera au Journal officiel de se faire cocufier ! Je ne vois pas comment m'expr...
Non, j'étais contre !