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En écoutant M. Mamère, la plupart des membres de la majorité sont restés pantois.
C'est vrai que la qualité du discours n'avait pas de quoi réveiller un auditoire !
Nous étions pantois d'entendre tant de contrevérités. Je vous rappelle tout de même, monsieur Mamère, que la dérive monarchique dont vous parlez si bien a atteint son apogée entre 1981 et 1995.
Vous qui parlez tant du respect du pouvoir exécutif envers le pouvoir législatif, on vous a rappelé à quel point vous aviez peu de mémoire. Dans certains débats parlementaires, nous avons rappelé le peu d'estime que l'exécutif portait à l'autorité judiciaire, estime dont vous vous gargarisez aujourd'hui lorsque vous pensez que le pouvoir attaqu...
Très franchement, le discours que vous avez tenu dans cet hémicycle vide
témoigne de la vacuité de la réponse de la gauche. En réalité, si le débat n'est pas allé jusqu'au bout et nous sommes un certain nombre à le regretter , c'est que vous vous êtes dérobés. Car vous qui nous accusez de tout faire pour l'exécutif, qu'avez-vous fait pour faire progresser les pouvoirs du législateur ? Qu'avez-vous donné à la rep...
À Paris notamment !
Le Président n'est jamais venu !
Le centralisme démocratique, monsieur Mamère !
En Angleterre, les membres du Gouvernement ne renoncent pas à leur mandat de parlementaire !
J'associe à ma question tous mes collègues qui ont signé l'appel pour le retrait de la France de la conférence Durban II. Monsieur le ministre des affaires étrangères et européennes, du 20 au 24 mars se déroulera à Genève une conférence communément appelée « Durban II », par référence à un souvenir que nous aimerions oublier : cette catastroph...
Le rapporteur est cubain, et Cuba est un autre pays expert en matière de droits de l'homme ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Nous en sommes, semble-t-il, à négocier auprès de ces illustres représentants de l'humanisme international le respect de la Déclaration des droits de l'homme de 1948. Nous supplions que la liberté d'expressio...
Très bien !
Rendez-nous Ayrault !
Ayrault, reviens !
C'est vrai !
Celle de Mitterrand !
Nous votons aujourd'hui la deuxième étape d'une profonde modification de nos institutions. La première a eu lieu avec le vote de la réforme constitutionnelle en juillet dernier,
grâce à laquelle, pour la première fois, les droits de l'opposition sont inscrits dans la Constitution, aux articles 4, 48 et 51. Nous nous apprêtons à voter la loi organique juridiquement liée à la Constitution, prélude à la troisième étape de ce changement profond de nos institutions que sera la modification de notre règlement intérieur. C...
N'accordons pas trop d'importance aux épiphénomènes qui ont troublé les débats ; l'essentiel était d'arriver au vote. Quoi qu'il en soit, il me semble que les parlementaires se doivent de présenter des excuses au président de l'Assemblée nationale, à l'égard duquel vous avez eu pour le moins une attitude inconvenante ! (Applaudissements sur les...