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Dans ce cas, je retire l'amendement I-CF 51 et souscris à l'amendement I-CF 311 du rapporteur général.
Je me le rappelle d'autant plus que j'étais à l'origine de l'amendement.
En effet. C'est de la constitution du fonds qu'il est question. Nous savons fort bien que les patrons de PME familiales n'aiment pas ouvrir leur capital quels que soient les investisseurs ou le véhicule de l'investissement. La Commission rejette l'amendement I-CF 185. Elle examine ensuite l'amendement I-CF 184 de M. Charles de Courson.
N'importe quoi !
Parlons de 1993 !
Il y avait de la croissance ! Et vous oubliez les 35 heures !
N'importe quoi !
Et allez donc !
Rappel utile !
Très bien !
Très juste !
Je rejoins sur le fond ce que vient de dire M. Méhaignerie, mais je n'en tirerai pas la même conclusion
parce que je veux, moi, voter ce texte,
en espérant, monsieur le ministre, que les amendements qui seront adoptés je sais que les commissions ont beaucoup travaillé et Michel Raison, notamment, en a présenté certains qui me paraissent très pragmatiques et très utiles nous permettront de voter une loi pouvant être un socle pour l'avenir de notre agriculture. La politique que vou...
Le débat, vous l'avez dit hier, n'est plus le même qu'il y a un an. Sur cette politique que vous conduisez, je ne vais pas être trop long, je voudrais juste vous dire rapidement deux ou trois choses. Le plan de soutien, il est extrêmement important de le mener à bien jusqu'au bout. Il faut notamment faire en sorte, peut-être en musclant les m...
Quelles sont les perspectives ? Quelle est notre nouvelle frontière ? Monsieur le ministre, je ne veux plus entendre des agriculteurs me dire qu'ils ne souhaitent pas installer leurs fils parce que ce métier n'aurait plus d'avenir. Je ne veux plus l'entendre parce que c'est faux !
Quel est notre défi, cher collègue ? C'est le défi alimentaire mondial. Je trouve que l'on n'en parle pas assez. Nous allons gagner trois milliards d'habitants d'ici à 2050, auxquels il faut ajouter Thierry Benoit l'a rappelé un milliard de personnes qui ne mangent pas aujourd'hui à leur faim. C'est un défi quantitatif mais aussi qualitati...
Nous savons bien qu'il faudra relever ce défi, même si, dans les années qui viennent, nous devons connaître encore des hauts et des bas, même s'il est clair que cette volatilité des cours, ces risques pour les exploitations, les entreprises et les revenus n'auront pas disparu. C'est bien pour cela, d'ailleurs, qu'il faut suivre les propositions...
Cela ne veut pas dire que la France toute seule nourrira le monde, mais elle peut y contribuer, et peut aussi en tirer parti. Cela suppose que, si nous définissons cette nouvelle frontière, si nous allons au-delà de nos habitudes de pensée, qui sont disons les choses comme elles sont , trop européennes, eh bien, nous devons également fournir...