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Et en zone urbaine, alors ?
Personne n'applaudit !
Il y a d'autres manières de faire de la politique !
Il fonctionne très mal !
Le président du pouvoir d'achat qui, disait-il, « [n'a] pas été élu pour augmenter les impôts », est devenu le président de l'augmentation des impôts et de la baisse du pouvoir d'achat : création de quarante taxes supplémentaires, augmentation de la TVA à taux réduit, passée de 5,5 % à 7 % il y a quelques mois, et maintenant, augmentation de la...
La démonstration est limpide !
Vu l'enjeu de ce texte pour le pouvoir d'achat, cela méritait bien quelques secondes supplémentaires !
Absolument.
Totalement d'accord !
On va lui supprimer les allocations familiales !
Monsieur le président, monsieur le ministre, madame la présidente de la commission, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, enseigner, quel beau métier : c'est transmettre le savoir, donner aux enfants l'envie d'apprendre, stimuler leur curiosité, favoriser leur questionnement, tout mettre en oeuvre pour qu'ils puissent devenir des citoyen...
Cela change tout !
La porte est ouverte à tout !
Vous l'avez appris par coeur !
Le changement, c'est maintenant ! (Rires.)
Personne n'y croit !
Merci, madame « Je sais tout » !
Pourquoi ne l'avez-vous pas fait avant ?
Nous assistons à l'acte II de la mise à mal de la formation des enseignants. L'acte I était la mastérisation : une formation pédagogique amoindrie au profit de savoirs académiques nécessaires, mais qui ne suffisent pas pour transmettre ce que l'on sait, comme nombre d'enseignants en font l'expérience ; l'affaiblissement des IUFM, dont le budget...
Mme Pécresse, elle aussi, nous a soutenu qu'il suffisait d'avoir des connaissances académiques pour être un bon enseignant : c'est faux ! Le savoir est nécessaire, naturellement, mais non suffisant : une formation pédagogique est indispensable. Monsieur Herbillon, François Hollande a dit : « Je mettrai en place un pré-recrutement des enseignan...