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Et aujourd'hui on nous annonce que la suite de l'examen de ce texte aura lieu mardi soir, alors que le programme de travail de notre assemblée ne prévoyait pas initialement qu'elle siège la semaine prochaine, sauf le mercredi 1er octobre. Mes chers collègues, j'aimerais que vous pensiez à l'outre-mer...
..car c'est un texte très important en raison des difficultés économiques et sociales que l'on rencontre actuellement. Nous avons notre mot à dire et des amendements à vous soumettre. Nous regrettons vivement que certains d'entre nous ne puissent être présents parce que l'ordre du jour a été modifié.
Inadmissible !
C'est bon de le rappeler !
C'est très vrai !
Monsieur le secrétaire d'État, si vous avez politiquement et juridiquement raison, vous avez humainement tort parce qu'on ne peut pas nous demander de siéger mardi soir prochain sans travailler lundi, alors que nous ne travaillerons pratiquement pas la semaine prochaine. Cela oblige les députés élus en province et, surtout, dans les DOM à faire...
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, je vous invite à un long voyage
qui nous permettra de sortir un peu du prisme hexagonal : je vais vous parler de l'école outre-mer. Dieu sait qu'il y a beaucoup de choses à dire ! En deux minutes, je me bornerai à évoquer l'échec scolaire outre-mer, plus particulièrement à la Martinique. La situation est grave, et elle se dégrade faute de moyens adaptés au contexte insulair...
J'en viens à ma question, monsieur le président. Comptez-vous, monsieur le ministre, doter les écoles d'outre-mer de moyens suffisants pour leur permettre de rattraper leur retard, préalable indispensable au développement de nos sociétés si exposées ?
Je n'ai pas dit cela !
Monsieur le ministre, je vais vous interroger sur l'agriculture domienne que vous connaissez très bien et pour laquelle, je sais, vous manifestez un certain intérêt. L'agriculture domienne souffre de nombreux handicaps, son insularité d'abord, et une forte exposition aux catastrophes naturelles : sécheresse, cyclones. La Martinique et la Guade...
Face à cette réalité, comment redonner des perspectives d'avenir à ce secteur indispensable à l'économie de nos régions ? Comment nourrir nos populations en encourageant la pratique d'une agriculture diversifiée, avec la mise en place de filières suffisamment structurées, favorisant la valorisation de la production locale de végétaux, de l'élev...
C'est bien de le dire !
Madame la ministre, je comprends la difficulté de l'exercice auquel vous avez dû vous plier lors de l'élaboration des crédits pour 2008 de la mission « Santé ». Ce budget, si sensible, est, vous en conviendrez, marqué du sceau de la rigueur. Il n'échappe pas aux contraintes exposées par le dernier mensuel du Gouvernement : « Le projet de loi de...
vous vous engagiez sur des mesures fortes indiquant la priorité donnée à la santé. En conclusion, je me permets de vous rappeler que notre contrat social repose sur les valeurs de justice sociale, d'avenir solidaire et de dignité humaine. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)
C'est vrai !
Il en va de même en Martinique !
Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, l'examen des crédits budgétaires est toujours une heure de vérité pour tout gouvernement amené à justifier ses choix politiques et financiers. Les crédits de la mission « Outre-mer » sont ainsi le révélateur de la volonté de conduire une politique de progrès économique, s...
Une évaluation du coût prévisionnel global de ce dispositif, commandée par le MEDEF-Martinique, fait apparaître un besoin de financement d'environ 800 millions d'euros. Or on est loin du compte. En outre, vous préconisez le choix de trois ou quatre secteurs prioritaires pouvant cumuler des exonérations : choix difficile voire douloureux tant i...
Je termine, monsieur le président. Ils s'en verront écartés sans savoir pourquoi, ni sur quels critères objectifs et encore moins à partir de quel modèle économique de référence. Je crains, monsieur le secrétaire d'État, que vous ne fassiez fausse route.