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3796 interventions trouvées.

La motion que vient de défendre M. Muet est digne d'un cours de rattrapage sur une période qu'il a bien fait de rappeler, tout comme M. de Courson est revenu sur des années antérieures. La rupture budgétaire a une date bien précise : c'est l'année 1981 qui commence à consacrer, malheureusement, la situation de dérive budgétaire à laquelle, ann...

Merci d'avoir rappelé que nous devions à un président que vous avez soutenu l'augmentation de la TVA, impôt le plus inéquitable selon vous ! Les déficits se sont accumulés, la dette était celle que nous connaissons maintenant. Puisque vous faites des comparaisons internationales, allez au bout du raisonnement. Combien de gouvernements socialis...

En effet. Si sa politique avait été un tel succès, cela se serait su ! Une politique budgétaire se mesure aussi en capacité d'emploi. À quel moment le chômage a-t-il commencé à remonter sous Lionel Jospin ? À partir de 2001. C'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles votre majorité a été sanctionnée par les Français, qui ont constaté que...

à comparer avec la capacité qui a été la nôtre d'injecter de la relance dans l'économie. Quant à la comparaison avec l'Allemagne, elle montre à quel point l'écart de compétitivité a été en faveur de l'économie allemande, avec la même monnaie que la nôtre. Encore une fois, c'est la démonstration qu'il faudra s'appliquer à mettre nos règles bud...

M. Brard a déjà exprimé à plusieurs reprises dans cette enceinte les points de vue qu'il vient une nouvelle fois de développer.

Il convient de souligner une forme de continuité oratoire chez Jean-Pierre Brard. Le problème, c'est qu'il manque quelque peu d'arguments spécifiques pour étayer sa démonstration. Dans la mesure où il a tout loisir de les développer en commission des finances, nous aurions tout intérêt

à aborder l'examen de ce texte sans tarder. J'invite donc l'Assemblée à repousser cette motion. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission des finances, monsieur le rapporteur général, mes chers collègues, par-delà les effets de la crise financière internationale et du plan de relance, nous avons assisté en 2009 à une dégradation importante du solde structurel, qui appelle nécessairement plusieurs ...

il faut donc revenir à des principes simples, afin qu'ils redeviennent verts mais je sais que cette couleur ne vous agrée pas nécessairement. (Sourires.)

L'annonce faite par le Premier ministre de la réduction des niches fiscales, voire sociales, entre 2011 et 2013, qui pourrait être portée jusqu'à 8,5 milliards d'euros en fonction de la situation, est une bonne approche. Au sujet des exonérations de charges sociales résultant des lois Aubry, j'avais déposé, avec Pierre Méhaignerie, un amendeme...

Des braises qui éclairent, ce n'est peut-être pas la meilleure manière d'illuminer !

Monsieur le président, j'entends évidemment répondre aux quelques arguments développés par Jean-Pierre Brard en défendant sa motion de procédure. Notre collègue a rappelé, à juste titre, que cette fameuse crise financière et bancaire était née de la faillite de Lehman Brothers aux États-Unis.

Cependant il aurait pu également rappeler que cette crise était la résultante de ce que nous avions déjà examiné en commission des finances à l'automne 2008, à savoir la suite de ce qui s'était passé en Grande-Bretagne avec la banque Northern Rock. En effet, la première crise de liquidité souvenez-vous, monsieur Emmanuelli

a touché cette banque britannique. Néanmoins tout cela résultait de la crise des subprimes sur le marché américain. Pour Jean-Pierre Brard, face aux pratiques désastreuses de la finance mondiale, que n'avons-nous agi pour « fermer le casino mondial ».