2638 interventions trouvées.
Qui ne demande rien n'a rien !
Ce partenariat aboutit à des solutions extrêmement constructives.
Vous venez de vous exprimer, cher collègue. Vous vous êtes moqué de tout le monde ; on a beau avoir l'habitude, c'est, pour tout dire, très désagréable.
J'adore la discussion constructive ; elle est toujours très intéressante. Mais les propos n'ont d'intérêt, monsieur de Rugy, que s'ils sont mesurés et constructifs.
Alors, évitez d'être caricatural ! Vous accusez en quelque sorte le Gouvernement de vouloir faire un cadeau fiscal en sous-main. Ce n'est pas sa démarche. L'article 6 tend à élargir un dispositif pour encourager l'investissement en actions, c'est-à-dire dans les entreprises. Tel est bien le but. Alors ne prêtez pas au Gouvernement des intention...
Notre rapporteur général défendra tout à l'heure avec un talent remarquable, j'en suis sûr un amendement pour bénéficier de tous les avantages de l'article, mais sans aucun des inconvénients, matérialisant un travail de partenariat avec le Gouvernement extrêmement constructif, qui est tout à l'honneur du Parlement. Je salue également Éric W...
Bien sûr !
Vous n'êtes pas long mais précis, monsieur le rapporteur général.
Mon groupe votera contre ce sous-amendement. À force de discussions, le rapporteur général, le ministre et Charles de Courson ont parfaitement cerné le vrai problème, celui de l'arbitrage fiscal. Mais il ne sert à rien de faire peser, à travers un amendement, une obligation sur le Gouvernement. Il ne faut pas improviser ; ce n'est pas en quelq...
Alors que le Premier ministre vient de confier au Conseil économique et social une mission sur le financement de la protection sociale, je ne crois pas que nous puissions boucler le dossier avant fin décembre ! Enfin, ma modeste expérience en entreprise m'a enseigné que les chefs d'entreprise avaient coutume de faire des arbitrages fiscaux pur...
Ça va être simple !
C'est vrai !
C'est de l'autopromotion !
Jean-Pierre Brard ayant dit que cet amendement et ce sous-amendement avait suscité en moi des hésitations, je voudrais éclaircir la position du groupe UMP et la mienne. Tout d'abord, le groupe UMP soutient cet amendement et ce sous-amendement. De quelle démarche procède-t-il ? Chacun sait que la France compte plus d'entreprises de deux ou troi...
Voilà un gouvernement attentif aux attentes du Parlement !
Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le ministre, je ne partage pas du tout la défense du budget pour 2008 présentée par Charles de Courson.
Le budget traduit une volonté politique. Il existe deux façons l'apprécier. Charles Amédée de Courson est un homme absolument remarquable qui connaît les chiffres comme personne. Mais il est temps, au début de cette nouvelle législature, d'expliquer en quoi ce budget est vraiment bon, et en quoi il marque une vraie volonté de rompre avec tout c...
Monsieur Brard, je vais m'expliquer et, si vous voulez bien m'accorder votre attention, nous aurons l'occasion de dialoguer pendant trois jours.
La croissance mesure l'évolution de la production nationale qui s'écoule sur le marché intérieur et à l'exportation. Lorsqu'on produit et qu'on innove, cela fonctionne : on vend. Comment se caractérise la croissance française ? Elle est émolliente et connaît des variations erratiques, je pense que nous serons tous d'accord sur ce diagnostic. É...
Je fais simplement deux constats. Un : ce choix était mauvais. Deux : nous avons perdu plusieurs dizaines de milliards d'euros qui auraient pu être investis dans l'innovation et la recherche, afin de créer les produits du futur et d'être compétitifs sur le marché mondial. Pourquoi ce budget 2008 est-il bon ? Parce que, justement, il investit d...