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Nous avons décidé d'aider les entreprises françaises à se financer car et c'est un constat partagé il nous manque 250 000 PME si l'on se compare à l'Allemagne.
Qu'est-ce qui distingue ces deux pays ? En Allemagne on encourage l'investissement dans les PME, alors qu'en France on encourage l'investissement dans les dépenses publiques.
Moi je crois c'est qu'il est temps aujourd'hui de réformer les dépenses publiques.
Je vais y revenir pour ne pas être caricatural. S'agissant des mesures, nous devons assurer la promotion de celle qui concerne l'ISF car c'est une bonne mesure. Il s'agit d'aider les entreprises françaises à bien se financer, de leur permettre d'investir davantage, de produire mieux, d'être plus innovantes, bref, d'être plus compétitives. Voilà...
Bref, on poursuit une démarche de budget vertueux, rigoureux. Cela implique, il est vrai, des réductions de coûts à long terme dont on peut donner deux exemples : la réduction du nombre des administrations centrales, notamment par la fusion de la DGI avec la DGCP dont les effets se feront sentir sur les comptes de l'État d'ici un à deux ans ; ...
Nous réduisons ainsi le volume des dépenses de l'État de 450 millions d'euros. Mais, en même temps, pour tenir nos engagements, nous injectons 225 millions de pouvoir d'achat dans la poche des fonctionnaires. D'ailleurs, je n'aime pas ce terme de fonctionnaire qui renvoie à la notion de statut ; je préfère parler de « professionnels de métiers...
Je ne dis pas que c'est le grand soir du grand retour, mais la réduction du nombre de départs pour des raisons fiscales est réelle.
Par conséquent la décision de créer un bouclier fiscal était salutaire. Bref, madame le ministre, monsieur le ministre, le groupe UMP soutient votre budget. Il y croit. Il ne le soutient pas par esprit moutonnier,
.mais parce qu'il y croit, par d'adhésion. C'est exactement celui qu'il fallait mettre en oeuvre et que nous parviendrons à tenir pour deux raisons, même dans une situation financière délicate. D'une part, comme l'a dit le rapporteur général Gilles Carrez hier, parce les prévisions de recettes sont prudentes. D'autre part, parce qu'il instaure...
Monsieur le ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique, le président socialiste de la commission des finances vous avait demandé, ainsi qu'à Mme Lagarde, un rapport sur les conséquences réelles de l'application de l'article 1er de la loi, votée cet été, en faveur du travail, de l'emploi et du pouvoir d'achat, relatif à l...
Monsieur le ministre, j'entends évoquer depuis quelques jours, notamment par les représentants du parti socialiste, l'existence possible d'un budget B à côté du budget A certains d'entre eux, déjà, avaient évoqué lors de la campagne référendaire sur la constitution européenne l'existence d'un plan B. Monsieur le ministre, existe-t-il bien un ...
Il y a plusieurs façons de traiter les motions de procédure. La première est enrichissante et dynamique, et je ne doute pas que la question préalable le sera. Il y a également des motions comme celle que nous venons d'entendre : M. de Rugy, avec son fatalisme, nous a plutôt endormis. Nous le regrettons, parce que le premier projet de budget d'u...
et a apporté les réponses que nous attendions à de vraies interrogations.
À propos du paquet fiscal, vous avez dressé un tableau si noir de ce qui nous attend qu'il m'a fait penser à la chanson de Leonard Cohen, Everybody knows : tout le monde sait que c'est fichu d'avance et qu'il n'y a plus rien à faire L'OFCE, dont l'indépendance est reconnue par tous, indique que 37 % des salariés vont bénéficier des heures sup...
et que le gain de ces seuls salariés représentera 1,8 point de pouvoir d'achat en 2008. Or vous dites que nous ne faisons rien pour le pouvoir d'achat et que cela n'aura aucun effet sur la croissance : vous nous expliquerez pourquoi lors d'une prochaine motion ! Vous nous expliquerez aussi comment fonctionne la croissance française et pourquoi...
Ce n'est pas du baratin : c'est l'innovation, l'avenir de notre outil industriel, qui entraînera une croissance durable.
Cela ne se fait pas du jour au lendemain, bien sûr. Dans un premier temps, il y a le soutien à la croissance par le pouvoir d'achat, et ces 9 milliards et non 15 milliards que nous avons votés. Dans un second temps, il y a les mesures structurelles pour la production, que le Gouvernement a commencé à prendre.
Je voudrais dire un mot sur le bouclier fiscal, sur lequel j'ai tout entendu. J'aimerais effacer certaines images d'Épinal j'en demande pardon au maire d'Épinal. Ce n'est pas faire preuve d'obscurantisme économique que de vouloir défendre le bouclier fiscal, et je vais vous en apporter la preuve. J'ai demandé à un spécialiste parisien en dél...
Je termine ! Pour vous, dès qu'on parle de toucher à l'ISF, il s'agit de faire des cadeaux aux riches ! Le Gouvernement a eu le courage de mettre en place, dans le projet de loi sur la croissance et l'emploi, un bouclier fiscal à hauteur de 50 %. Je suis heureux de constater que les effets de cette politique sont visibles, et je suis satisfait...
Voilà bien le dernier sujet que vous êtes en droit d'aborder !