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Les amendements de Henri Emmanuelli pour ce dossier

120 interventions trouvées.

Je vous remercie, monsieur le rapporteur général. J'ai lu dans la presse, monsieur le ministre, que vous vous étiez rendu à Mont-de-Marsan pour écouter. Vous savez parfaitement que je vous transmets ici le point de vue des sylviculteurs et des organisations professionnelles, au sein desquelles je n'ai, en général, pas une influence déterminant...

Il y a deux lignes, monsieur le rapporteur général. Nous avions prévu 70 millions pour le stockage et le transport, et 8 pour le boisage et le nettoyage. Prévoyez-vous une décomposition de ces 40 millions ?

Nous venons de parler de la sylviculture ; il s'agit à présent de l'agriculture. Là aussi, une concertation a eu lieu entre la profession et le ministère de l'agriculture. Les chambres départementale et régionale d'agriculture nous disent que les sommes prévues sont insuffisantes. Nous demandons donc 4 millions d'euros supplémentaires pour fair...

S'agissant, encore, de l'agriculture, nous proposons d'ajouter les mots : « Sont ouverts et annulés au ministre de l'agriculture et de la pêche, pour 2009, au titre du budget général, des autorisations d'engagement et des crédits de paiement, s'élevant au montant de 2 millions d'euros. » Il s'agit de payer les dégagements et la main d'oeuvre né...

J'ai reçu les présidents des chambres régionale et départementale d'agriculture. Lors d'une réunion au ministère de l'agriculture, ils ont expliqué au ministre qu'il leur manquait des crédits et qu'ils ne pourraient pas boucler leurs budgets avec ce qui leur était donné. Vous considérez quant à vous que c'est suffisant. Je transmettrai votre ré...

Monsieur Chartier, je ne suis pas là pour me plaindre. Je défends des professionnels, des salariés, une activité économique et un massif pour des raisons environnementales. Nous ne sommes pas non plus venus pour obtenir des gestes, mais pour que s'exerce la solidarité nationale au nom de certaines catégories de personnes durement affectées. Vo...

Madame la ministre, monsieur le ministre, j'ai souhaité prendre la parole pour vous parler de notre malheureuse Aquitaine et de la tempête Klaus qui s'est abattue sur elle, mais je ne peux pas non plus passer complètement à côté du collectif budgétaire. À propos de ce dernier, monsieur le ministre, vous ayant écouté avec attention cet après-mi...

et ceux qui ne les aimeraient pas. Je vous encourage à vous procurer les débats tenus au début du siècle dernier, au moment de la création de l'impôt sur le revenu. Vous constaterez que l'on entendait sur ce sujet à peu près les mêmes inepties que celles que nous entendons en ce moment.

La théorie du ruissellement était déjà à la mode, au début du XXe siècle, chez les adversaires de l'impôt sur le revenu, qui expliquaient qu'il ne fallait pas toucher aux riches parce que sans eux la nation s'effondrerait. En 1789 déjà, les Émigrés étaient partis à Coblence, et cela n'a pas empêché la République française de tracer son chemin.

Tout cela est surréaliste. Vous devriez relire ces débats ; vous retrouveriez les arguments que vous utilisez aujourd'hui. En ce qui concerne l'impôt, il y aurait ceux qui seraient élus pour prescrire de nouveaux impôts et ceux qui le seraient pour ne pas le faire. Croyez-vous vraiment qu'il existe des gens, masochistes par nature, dont l'obje...

Ce n'est pas sérieux. Quand M. Mariton dit, comme le fait tous les jours M. Sarkozy, que vous n'avez pas été élus pour instituer de nouveaux impôts, je veux bien le croire, mais vous n'avez pas non plus été élus pour créer des déficits abyssaux ! Cela ne faisait pas partie du programme du Président de la République ni de vos intentions. Il faud...

Ce n'est pas sérieux. Des gens nous écoutent et nous regardent, y compris des chefs d'entreprise, et je ne suis pas certain que ce genre de choix les rassure. Je sais bien que c'est une promesse de M. Sarkozy et du président qui l'a précédé, mais l'urgence est-elle là, alors même qu'il n'y a à en attendre ni emplois ni baisse des prix, comme le...

Comment ? Entendre le Président de la République, au moment où tout dégringole, expliquer que l'important, c'est de baisser le prix du café

Jusqu'à nouvel ordre, à la tribune, on dit ce que l'on a à dire. Vous êtes libre de considérer que l'emploi, les prix et l'activité économique ne sont pas le sujet. Allez l'expliquer demain dans la rue ; vous serez sans doute très bien accueilli.

On ne trouve pas dans ce collectif les réponses aux questions qui se posent. Vous, de même que nous parfois, ne mesurez pas pleinement l'ampleur de la crise. Nous sommes toujours dans les recettes classiques. Mme Lagarde a dit tout à l'heure que le chômage technique serait indemnisé à 90 %. Cela va dans la bonne direction ; ce sera un moyen de...

Il n'y a pas eu de Mme Soleil. Un certain nombre de personnes ont clairement dit que l'on ne pouvait avoir des taux de rentabilité entre 15 et 20 % avec des taux de croissance entre 2 et 3 % ni un tel emballement du crédit sans qu'un jour ou l'autre, il faille payer l'addition. À ce propos, madame la ministre, j'espère que vous nous donnerez q...

Monsieur Chartier, ce n'est pas une surprise pour nous que vous souteniez le Gouvernement, mais je vous ferai remarquer aimablement que confondre Proudhon et la culture marxiste est la preuve d'une culture qui devrait vous conduire à parler avec moins d'arrogance.

Si, monsieur Brard, je l'ai écouté, et je vous renvoie à vos livres ! Monsieur Hunault, je vous félicite pour le pluralisme dont fait preuve votre groupe. Après vous avoir écouté ainsi que M. Vigier, on a le sentiment que le Nouveau Centre est un puzzle où cohabitent des opinions assez différentes.

Tout à fait, monsieur Brard ! Expliquer que les centristes n'ont pas de leçons de gaullisme à recevoir, il y a des limites ! Même à une heure tardive, on ne peut pas raconter n'importe quoi. Ne piétinez donc pas l'histoire. Madame la ministre, je souhaiterais vous répondre sur un sujet relativement grave que vous avez évoqué à votre façon. D...

Et vous avez récidivé ce soir en nous expliquant, à la tribune, que la Société générale avait signé un accord avec la Banque fédérale américaine. Non, madame la ministre, ce n'est pas ainsi que cela s'est passé, et vous le savez aussi bien que moi. Après un rappel à l'ordre de la FED, la Société générale s'est précipitée dans la foulée, ce que ...