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2089 interventions trouvées.

Chers collègues, nous ne sommes pas obligés de vous suivre totalement, dans la mesure où 12 millions de personnes sont concernées par ce type de contrat d'assurance-vie qu'ils ont d'ailleurs souvent souscrit en obéissant à l'État, en quelque sorte.

Ils ont eu d'autant plus tort de croire encore une fois à la parole de l'État qu'ils ont été doublement trompés : l'année dernière, vous avez accepté un excellent amendement de Jean-Michel Fourgous ; que vous remettez en cause un an plus tard. Le message juridique que vous envoyez est, à mon avis, détestable. La seule solution acceptable, pour...

À la limite, pourquoi pas ? Mais cette rétroactivité, cette instabilité juridique que vous développez à longueur de PLFSS est détestable.

C'est un amendement de repli. (L'amendement n° 563 rectifié, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.) (L'article 17, amendé, est adopté.)

En effet, pour une petite niche, c'est une petite niche ! Mon amendement tend à soustraire les chèques cadeaux, bien connus et très utilisés par les comités d'entreprise, aux prélèvements sociaux. Je ne connais pas les pourboires des portiers de grands hôtels,

mais les bons d'achat papiers et les chèques cadeaux doivent, quant à eux, échapper à la taxation proposée.

Permettez-moi de corriger vos propos, monsieur Bur : selon une jurisprudence constante, la Cour de cassation, souvent saisie par l'ACOSS, donc par l'URSSAF,

a toujours considéré que les chèques cadeaux devaient être soustraits aux cotisations sociales.

La question est quelque peu complexe. (Rires sur les bancs des groupes SRC et GDR.) M. Bur n'a pas tout dit : ces carried interests sont déjà soumis à une contribution de 30,1 %. Ils se composent en partie de bonus et en partie de malus cette dernière part ne posant pas de problème, sauf si l'amendement de M. Bur était adopté, auquel cas les...

Il y a aussi la part de 1 % que le gestionnaire du fonds doit investir. S'il ne le fait pas, il est normal qu'il soit pénalisé financièrement par un malus.

Monsieur le président, madame la ministre, messieurs les ministres, comme de nombreux orateurs depuis hier soir, je ne peux qu'être très préoccupé par l'ampleur du déficit de la sécurité sociale. Je partage le point de vue d'Yves Bur selon lequel nous ne sommes pas dans une crise conjoncturelle mais dans une crise structurelle. Le premier vice-...