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M. Ayrault, au nom de sa formation politique, les cautionne-t-il...
..ou les désapprouve-t-il ?
Aujourd'hui ce sont vos bancs qui sont vides ! Vous êtes deux !
Je crois qu'il y a une confusion. Nous parlons de la déclaration de l'action de grève, pas de l'action de grève. Ce sont deux choses différentes. Une fois prise la décision de faire une grève, il peut survenir des événements de négociation de nature à faire revenir sur cette décision.
Nous parlons de la déclaration. Dans une situation conflictuelle, on peut fort bien décider de se mettre en grève, puis, à la lumière des négociations, revenir sur cette décision. Tant qu'on n'est pas en action de grève, le problème ne se pose pas.
Faites attention, le Père Noël va bientôt revenir ! (Sourires.)
Ce n'était pas au niveau !
Il vaut mieux que ce soit lui que vous ! (Rires.)
Parce que ce n'est pas ce que vous faites ?
Qui a été rejeté à Montreuil ? Ce n'est pas M. Sarkozy !
Très bien !
Enfin !
On pourrait vous en offrir une ! (Sourires.)
Qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre !
Il ne faut pas renier le communisme, monsieur Brard !
Cela ne s'est pas vraiment senti dans l'intervention de M. Brard.
Trop aimable !
Pour ma part, je soutiens la position de notre rapporteur général. Si nous nous calons sur le taux de 1 %, nous perdrons sur les deux tableaux : nous aurons à la fois une évolution des bases et des augmentations de taux. En revanche s'en tenir à 1,8 % permet aux majorités, de droite comme de gauche, et aux oppositions des collectivités d'en app...
Restons-en donc à une revalorisation des bases qui prend en compte l'évolution normale et qui permet d'éviter les dérapages sur les taux. C'est pour ces raisons que je soutiens la position du rapporteur général.