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Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, madame la ministre du logement et de la ville, monsieur le ministre des affaires étrangères et européennes, monsieur le secrétaire d'État chargé des affaires européennes, mes chers collègues, au terme de six mois de présidence de l'Union européenne, la France a été à la hauteur des espoirs pl...
Vous avez toujours privilégié le dialogue à l'affirmation péremptoire, vous avez tissé un à un les liens de la confiance avec les autres États membres. Nous vous devons beaucoup. Nous voulons vous témoigner aujourd'hui notre reconnaissance, au moment où vous vous apprêtez à quitter vos fonctions. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) ...
Le statu quo n'est pas possible. Qui peut croire en effet que, pour défendre durablement notre industrie, pour progresser en matière de protection de l'environnement, pour garantir notre approvisionnement énergétique, pour remettre les exigences sociales au premier plan de nos préoccupations, nous puissions faire l'économie de politiques commun...
Face à cette crise, il fallait réagir vite, en fixant un cap clair. Le Président de la République et le Gouvernement l'ont fait, avec un plan de relance fondé sur l'investissement. Avec l'ensemble de mes collègues de la majorité, je tiens à le saluer. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Il est regrettable néanmoins que ni la Commis...
qu'une vision : un idéalisme pragmatique, au service de tous les citoyens de l'Europe. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)
Est-ce bien le sujet ?
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, face à la crise, et malgré leurs difficultés quotidiennes, les Français font preuve d'une lucidité et d'un sang-froid que je tiens à saluer. Ils ne cèdent pas au pessimisme. Ils manifestent des inquiétudes légitimes auxquelles il est de notre devoir de répondre.
Pour cela, nous avons l'obligation première d'apporter toutes les explications nécessaires sur l'origine de la crise. Évitons d'en faire un événement imprévisible et brutal, alors que seule l'ampleur du choc, mais pas son existence, aurait dû nous surprendre. Les déséquilibres remontent à loin : pour faire court, aux années 1980 et au mouvemen...
Si ce système était sans rapport avec la réalité, c'est également en raison du décalage entre la croissance américaine et le déficit de sa balance courante.
L'Amérique a ainsi donné l'impression de s'enrichir alors qu'elle s'appauvrissait.
Enfin, le décalage avec la réalité s'est manifesté par l'écart croissant entre les gains de productivité de l'économie américaine et la stagnation du niveau des salaires. Dans une économie où la consommation est le premier moteur de la croissance, il a bien fallu trouver un autre financement ; et, faute de salaires, ce sont les crédits qui ont ...
Face à cette crise, la réaction immédiate du Président de la République et du Gouvernement était la bonne. Elle a permis d'éviter la mise en faillite d'établissements financiers majeurs, tel Dexia, donc de juguler la crise de contrôle des systèmes financiers. Elle a en outre créé des garanties d'État propres à favoriser le déblocage des crédit...
En effet, rémunérer le travail à sa juste valeur plutôt que démultiplier les profits du capital constitue une exigence absolue.
Il est tout aussi essentiel que la crise débouche sur un rééquilibrage entre les grandes puissances de la planète et les économies émergentes, afin que ces dernières puissent développer leur marché intérieur et en faire un lieu d'investissement pour les économies développées, notamment l'Europe.
C'est ce rééquilibrage de la géographie économique qui nous permettra réellement de sortir de la crise. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, la sécurité sanitaire est aujourd'hui un enjeu de santé publique majeur qui se traduit par de réelles inquiétudes chez nos concitoyens. Il est du devoir de l'État de garantir à chaque Français la protection nécessaire et de mobiliser les moyens financiers et humains pour faire fa...
La commission des finances n'a pas examiné ces sous-amendements. J'exprime donc, à leur sujet, un avis personnel. Le sous-amendement n° 200 soulève une question importante. Une différence réelle existe bien entre le coût de traitement des cadavres d'équidés 250 euros par tonne et celui des cadavres de ruminants 113 euros par tonne. Il fa...
Vous avez raison, monsieur Vergnier. Méfiez-vous des agrégés de lettres : en général, ils parlent mal le français. (Sourires.) Cependant, monsieur Le Fur, je reste très attaché au respect du principe de l'intérêt général, et je ne suis pas partisan de multiplier les exceptions dans le domaine législatif. Si nous commençons à accepter un traite...
Vous avez raison !