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Monsieur le Premier ministre, vous avez déclaré que si nous voulions sauver l'Europe, sauver l'euro et sauver la Grèce, il fallait passer l'âge de la retraite à 67 ans. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Vous voudriez démontrer que l'Europe que vous appelez de vos voeux ressemble étrangement à la France de la régression sociale que vous avez mise en oeuvre, vous ne vous y prendriez pas autrement. Votre discours n'a pu que renforcer, malheureusement, le scepticisme de tous ceux qui, dans ce pays, doutent de l'Europe. Nous pensons au contraire q...
Monsieur le ministre, selon vous, la loi ne traiterait pas des fadettes et il appartiendrait à la justice de dire s'il y a eu faute. Cela signifierait que la loi, à vos yeux, ne protégerait que le contenu des sources. Or la loi ne parle pas du « contenu » des sources, mais de la « protection » des sources.
Je comprends que mon observation vous agace
Le débat vous énerve peut-être, monsieur le ministre, mais je continuerai de m'exprimer.
C'est la démonstration juridique que vous venez de faire vous-même : on ne sait pas si la loi traite du contenu des sources ou traite des sources en général. Or, en réalité, la loi n'évoque que les sources et les moyens d'investigation des sources. C'est la raison pour laquelle vous vous trouvez confronté à une violation de la loi. Pour vous e...
Voilà la réalité !
Oui : 130 milliards d'euros !
Oui, il suffira de changer la Constitution ou la loi organique !
Monsieur Warsmann a été le seul courageux !
À la place de M. Warsmann qui a bien du mérite ! (Sourires.)
Très juste !
Absolument !
Très bien.
On ne le sait pas.
Tout à fait !
Votez donc avec nous !
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, M. Joyandet a raison de rappeler ce principe d'action de l'UMP : ce n'est pas parce qu'on ne peut pas faire profiter à tout le monde d'une mesure qu'il faut s'interdire d'en faire profiter quelques-uns.
C'est ce mot d'ordre que vous avez appliqué à la réforme de l'ISF, qui ne profite qu'à quelques-uns. Nous l'avions bien compris.
Permettez-moi, monsieur le ministre, une fois n'est pas coutume, de vous féliciter, non pour le contenu de votre projet de loi mais pour l'opération de communication que vous avez orchestrée. Nous connaissions déjà un ministre de l'éducation capable d'améliorer l'enseignement en diminuant le nombre d'enseignants il se plaît à nous l'explique...