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nous connaissions déjà un ministre de l'intérieur capable de renforcer la sécurité avec moins de policiers ; vous trouvez dorénavant, monsieur le ministre, une place de choix dans ce palmarès en étant le ministre capable d'améliorer le pouvoir d'achat sans augmenter les salaires !
Il est vrai qu'être un fidèle serviteur du Président du pouvoir d'achat qui, en définitive, restera dans les mémoires comme le Président de la rigueur pour presque tous et de l'opulence pour certains suppose un vrai talent de magicien, que je veux bien vous reconnaître
Pourtant, les paroles étaient séduisantes. Dans son discours de Périgueux, le 12 octobre 2006, le candidat Sarkozy proposait que « le maintien des exonérations de charges pour les entreprises soit dorénavant conditionné à la hausse des salaires », promesse oubliée vous devrez en rendre compte devant les électeurs ! , tout comme celle du 5 fé...
Son montant n'est pas fixé et peut se résumer à quelques euros au profit d'un nombre de salariés qu'on ne connaît pas vraiment : de 1,5 million à 2 millions, selon les experts. Monsieur le ministre, si le code pénal sanctionnait la parole politique, vous seriez poursuivi pour tromperie sur les qualités substantielles du produit.
La situation serait alors pour vous très risquée, car, manifestement, vous seriez en situation de récidive.
Faut-il ici une nouvelle fois vous rappeler les engagements du Gouvernement concernant le rétablissement de l'allocation équivalent-retraite, promesse non tenue qui laisse aujourd'hui des dizaines de milliers de travailleurs âgés dans une grande détresse ? Il ne s'agit pas d'une invention de l'opposition : cet engagement a été réitéré à au moin...
En effet, le texte applique le dispositif à toutes les entreprises dès lors que la distribution des dividendes s'opère au niveau de la société-mère. Ainsi, si les bénéfices sont transférés dans l'autre sens, il n'a plus d'assiette. C'est la porte ouverte à tous les contournements. Cela étant, pourquoi recourrait-on à une ingénierie aussi compl...
Ce n'est pas que les Français aient renoncé à consommer ; cela confirme tout simplement que, pour la France qui travaille, les fins de mois sont de plus en plus difficiles.
L'augmentation des dépenses contraintes l'essence, le gaz, les loyers, les assurances, les mutuelles comprime leur pouvoir d'achat alors que les salaires n'augmentent que faiblement. Voilà pourquoi le pouvoir d'achat est aujourd'hui, avec l'emploi, la principale préoccupation des Français. Votre projet ne répond en rien à leurs attentes. D...
Bien sûr ! Il faut répondre, monsieur le ministre !
C'est tout le texte qui est raté ! (Sourires sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
Vous l'avez fait, mais un peu tard. Vous avez failli oublier !
Et les groupements d'employeurs ?
C'est original, on vote la loi d'abord, et ensuite on négocie
Enfin ! (Sourires.)
Hasardeux !
Extraordinaire !
Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collèges, depuis l'examen en première lecture de ce texte, les dernières statistiques du chômage nous ont ramenés à la dure réalité d'une situation de l'emploi, qui est loin de correspondre à vos discours sur une embellie de sortie de crise. En un seul mois, le nombre de demandeurs d'emploi ...
Ainsi, depuis le mois de janvier, le nombre de demandeurs d'emploi dans les catégories A, B et C a augmenté de 33 300 alors que la croissance au 1er trimestre avait atteint le chiffre satisfaisant de 0,9 % et que les chiffres révisés par l'INSEE ne prévoient plus qu'une croissance de 0,2 % pour le deuxième trimestre. Le chômage des jeunes n'éc...
Ces chiffres révèlent que les jeunes ont été les premières victimes de la crise et que cette situation dramatique pour eux et pour leurs familles appelle une réponse forte. C'est pourquoi nous proposons la création de 300 000 emplois d'avenir