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...Martinique pour représenter l'Assemblée. Enfin, le président de l'Assemblée nationale ne peut pas oublier qu'il demeure avant tout un député et, par conséquent, qu'il doit rester à l'écoute des électeurs dans sa circonscription, c'est-à-dire, pour moi, en Haute-Savoie. (Applaudissements.) La troisième question s'adresse à vous, monsieur le ministre. Elle va vous être posée par Morgane Belliard, élève de l'école élémentaire du boulevard Bessières, à Paris. Morgane, vous avez la parole.
La quatrième question va m'être posée par Alexis Bonnafy, élève de l'école élémentaire Jean-Moulin de Couzeix, en Haute-Vienne. Alexis, vous avez la parole.
...tiel dans une démocratie. Vous savez que la Constitution, c'est-à-dire la « règle du jeu » de notre vie politique, va être révisée. J'ai veillé à ce que chacun puisse s'exprimer dans cette importante discussion, qui doit aboutir à un renforcement des pouvoirs des députés. (Applaudissements.) La cinquième question s'adresse à vous, monsieur le ministre. Elle va vous être posée par Maude Gallais, élève de l'école Edouard-Herriot du Havre, en Seine-maritime. Maude, vous avez la parole.
La dernière question va m'être posée par Corentin Faucher, élève de l'école élémentaire Saint-Exupéry de Châtillon-sur-Thouet, dans les Deux-Sèvres. Corentin, vous avez la parole.
...ements.) Je tiens aussi à adresser le message d'amitié de l'Assemblée nationale à tous les enfants de France de métropole et d'outre-mer et à tous ceux des classes que vous avez eu l'honneur de représenter. (Très vifs applaudissements.) Avec les députés de l'Assemblée nationale présents ici, que je remercie (Vifs applaudissements), je veux remercier solennellement et du fond du coeur les 26 élèves européens qui nous ont accompagnés tout au long de cette journée, en particulier pour le message que deux d'entre eux nous ont adressé. (Très vifs applaudissements.) Je vous demande de réserver également une acclamation à la classe de l'espoir présente ici aujourd'hui. (Très vifs applaudissements.) Chers délégués juniors, je vais maintenant quitter l'hémicycle. Je vous remercie par avance de r...
...e adossés à l'ordonnance de 1945 ? Je pense en particulier à l'accompagnement des moins de douze ans après vingt-deux heures j'ai réalisé une étude pertinente. Enfin, question importante dans les quartiers populaires, il faut prendre en compte la situation des jeunes exclus ou en échec scolaire. Cela passe par le développement de l'apprentissage dès l'âge de quatorze ans, pour inscrire tous les élèves dans un parcours valorisant, et par l'attribution de moyens suffisants à la protection judiciaire de la jeunesse. Pour finir, madame la garde des sceaux, je tenais à vous remercier d'être présente ce matin. Accepteriez-vous que les pistes que j'ai évoquées soient explorées par la commission ?
... ! L'ensemble de l'académie du Lot est concerné puisque des établissements situés aussi bien en zone rurale qu'en zone urbaine sont visés et touchés par cette vision strictement comptable, indifférente à la réalité éducative du terrain. Voici, monsieur le secrétaire d'État, appliqués au Lot, les effets concrets de mesures budgétaires restrictives, que refusent aussi bien les enseignants que les élèves et leurs familles : à Cahors, le collège Gambetta perdra pas moins de cinq postes et le collège Olivier-de-Magny deux postes d'enseignant dès cette année puis son chef d'établissement en 2009. Le premier degré n'est pas épargné puisque trois écoles de Cahors La-Croix-de-Fer, Lucien-Benac et Jean-Calvet perdront chacune un poste. À Gourdon, après les trois fermetures de ces dernières années,...
Je vous remercie de votre réponse, monsieur le secrétaire d'État, mais permettez-moi d'exprimer quelques doutes, car je suis loin d'être convaincue par vos arguments. Comme des milliers d'enseignants, de parents et d'élèves, je souhaite savoir comment, autrement qu'en diminuant le taux d'encadrement, le ministre de l'éducation nationale, M. Xavier Darcos, compte assurer, dès la rentrée prochaine, la réussite des élèves de notre pays, particulièrement en milieu rural et dans le Lot. Votre réponse ne diminue en rien mon inquiétude et je resterai très vigilante sur l'évolution de votre politique d'éducation et sur ses...
...tabilisera l'organisation d'un établissement scolaire situé au coeur même d'un quartier à forte mixité sociale. Dans le cas du lycée Voltaire, le rectorat a annoncé, en février dernier, la suppression, à la rentrée prochaine, de huit postes de professeur et de deux classes. À partir de la mi-mars, pendant près de trois semaines, le lycée a été bloqué et plus aucun cours n'a eu lieu. Enseignants, élèves et parents d'élèves se sont en effet mobilisés face à une décision de suppression de postes qui vient aggraver, là aussi, des conditions d'enseignement déjà difficiles. Les cours ont finalement pu reprendre après quelques avancées obtenues auprès du rectorat : maintien d'une classe de seconde, de trois postes de professeur et engagement oral, mais à ce jour non confirmé, concernant le maintien s...
...j'en témoigne. Par la qualité de leur double formation, les « Navalais », comme on les appelle à Bordeaux, ont de tout temps été les moteurs des promotions et leur participation à la marche des services est essentielle à la qualité des soins. Notons d'ailleurs que le taux de Navalais reçus au numerus clausus 60 à 86 % est pratiquement deux fois plus élevé que celui des Lyonnais : 45 à 60 %. Élèves et professeurs issus de l'école sont pour une grande part dans la spécificité et la qualité du CHU de Bordeaux en matière de médecine tropicale et parasitaire. À l'heure des pôles d'excellence, ceux qui existent doivent être soutenus et non affaiblis. Sur le plan de l'enseignement, le départ des étudiants du service de santé des armées, ferait perdre à l'université de Bordeaux l'équivalent d'un...
Je crois vous avoir expliqué que le système LMD réduirait le nombre des élèves « internalisés » et que le site de Lyon, au coût de fonctionnement très élevé, est donc surdimensionné. Vous avez évoqué l'hôpital de santé des armées de Lyon. Or nous en disposons d'un à Bordeaux, qui est un pôle d'excellence en lui-même. Doté d'un foncier de seize hectares, il est propre à accueillir un campus très actif. Enfin, le maire de Bordeaux s'est engagé à prendre en charge une évent...
... Europe ; en réalité, votre vision comptable de l'école de la République fait du savoir un produit de consommation comme un autre et abandonne l'école au marché. Vous n'avez de cesse de mettre en avant votre révision générale des politiques publiques, mais il s'agit, en réalité, d'une politique de rigueur qui met en péril l'avenir de nos enfants. Dans mon département du Gard, près d'un millier d'élèves supplémentaires sont annoncés pour la rentrée prochaine. Pourtant 25 postes d'enseignant et 240 heures de cours vont être supprimés. Quel va être l'avenir des jeunes dans un département déjà sinistré par les délocalisations industrielles de Well, de Jallate, de Perrier et de Syngenta, entre autres ? Avec 25 postes de moins pour 1 000 élèves de plus, de nombreuses inquiétudes pèsent sur la péren...
...vous venez de citer concernant mon département correspondent à ceux dont je dispose, mais ce n'est pas toujours le cas. Dans le primaire, il y aura à ma connaissance, et selon les chiffres qui m'ont été fournis par l'académie de mon département, 31 ouvertures de classe pour 25 fermetures, soit seulement 6 créations de postes. En ce qui concerne les collèges, je compte bien 9 postes créés pour 295 élèves supplémentaires, mais 34 postes sont supprimés dans les lycées alors que 131 élèves supplémentaires sont attendus. Peut-être mes chiffres sont-ils faux, mais votre réponse, monsieur le ministre, n'est, en tout cas, pas celle qu'attendaient les Gardois et les Gardoises. Ils suivent ce matin un mot d'ordre lancé par tous les syndicats d'enseignants et les fédérations de parents d'élèves pour mene...
Monsieur le ministre de l'éducation nationale, je veux attirer votre attention sur les inquiétudes, exprimées par les personnels de l'éducation nationale et les parents d'élèves, relatives aux conséquences de l'application de la dotation horaire globalisée pour l'année 2008-2009 au sein du collège Fernand-Bouvier à Saint-Jean-de-Bournay, dans ma circonscription. Je connais très bien la situation de cet établissement, dans lequel les enseignants et le personnel de direction effectuent un travail remarquable. Nous avons tous, monsieur le ministre, la même priorité : gara...
Monsieur le ministre, je vous remercie de votre réponse. Si je me suis permis d'insister sur la situation de ce collège, qui n'est pas unique en France, c'est parce qu'il se situe dans le nord de l'Isère, plus proche de Lyon que de Grenoble, qui est une zone d'expansion démographique où les élèves présentent des difficultés plus grandes que dans le reste du département. Or, compte tenu de son éloignement de Grenoble, plus attractif que les zones rurales, ce secteur rencontre des difficultés pour attirer les enseignants.
...t de départs. Le commandement lui-même est touché : il y avait encore dans ce commissariat divisionnaire cinq commissaires en 2002 ; ils ne sont plus que deux. Malgré des effectifs déjà insuffisants, la circonscription de police de Roubaix a perdu 21 postes au cours de la dernière année : 472 postes sont affectés en avril 2008, contre 493 en 2007. Dans la ville voisine de Tourcoing, cette perte s'élève, si je ne m'abuse, à 23 postes. Et la situation ne va pas s'améliorer : le mouvement des mutations pour septembre, publié hier, ne prévoit aucune ouverture de poste de gradé ou de gardien, ni à Roubaix, ni à Tourcoing. Ce qui signifie qu'en décembre, avec les départs à la retraite dix-neuf prévus et les usuelles mutations d'automne une vingtaine , le commissariat de Roubaix va se retrouver...
a émis des réserves sur le calendrier fixé pour cet objectif, l'orientation des élèves qui seront en terminale en 2010 étant déjà largement engagée. Elle a observé que les universités entraient en contact avec les lycéens plus difficilement que les classes préparatoires. Sans doute faudrait-il sensibiliser les proviseurs à l'intérêt des filières universitaires, afin que celles-ci ne soient pas un choix par défaut.
...oration d'un « code de la paix scolaire » afin d'harmoniser les procédures existant dans les établissements. Une véritable réflexion est engagée au sein du ministère afin de stopper la violence à l'école. L'orientation est également un domaine qui fait l'objet d'innovations au sein de l'éducation nationale, autour de l'idée d'engager dès la classe de cinquième une réflexion sur l'orientation des élèves qui sera poursuivie jusqu'à la terminale. L'implication de toute la communauté éducative dans ce mouvement suppose que les enseignants y soient formés. L'option de découverte professionnelle doit être généralisée. En terminale, le principe d'orientation active conduira à renforcer le lien entre lycées et universités, notamment grâce à des présentations de cursus et de débouchés professionnels. ...
a considéré que la difficulté essentielle tient à la reconnaissance du métier d'enseignant. Les anciens élèves des sections économiques et sociales ou scientifiques accèdent à des professions où un garçon peut se réaliser et gagner correctement sa vie.
Par cet amendement, Michel Charasse voulait prévenir le risque, qu'il avait cru déceler dans ses montagnes du Puy-de-Dôme, de voir des maires de communes rurales encourager les élèves à aller dans des écoles privées des communes voisines pour ne pas avoir à payer le forfait scolaire. Jusqu'à la loi du 13 août 2004, en effet, la commune de résidence ne subissait alors aucune charge financière, bien que la loi en ait depuis longtemps ouvert la possibilité. Elle devait par contre verser une contribution financière dès lors que l'enfant allait dans une école publique, mais sous ...