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Notre mission d'information, même si elle sera amenée à en traiter puisque la question a été versée dans le débat public, a un objet beaucoup plus large que les seuls centres de consommation supervisés.
Nous emploierons l'expression : « salles d'injection supervisées ».
Je remercie l'ensemble des participants.
Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur le débat qui a précédé le communiqué publié par l'Académie nationale de médecine le 11 janvier dernier ?
Je vous remercie, messieurs, pour vos très utiles contributions à nos travaux.
- Monsieur le Commissaire, de quels changements législatifs auriez-vous besoin dans votre travail ?
- Ce stage s'adresse bien à des jeunes qui commencent à faire usage de drogues et porte sur les dangers de la consommation ?
- Pouvez-vous nous le décrire et nous dire qui le suit ?
- Pourrez-vous nous faire parvenir une de ces fameuses clés USB ?
- On a évoqué la possibilité de dépénaliser certaines drogues dites « douces ». Le ministère a-t-il une opinion sur ce point ? Existe-t-il des réflexions ou des comparaisons avec des pays étrangers qui auraient déjà accompli ce pas ?
Recevoir les caractéristiques génétiques par courrier quelques jours après l'envoi d'un échantillon biologique coûte environ 125 dollars, et les prix ont été « cassés » durant la période de Noël. J'ai l'impression que nous nous battons contre des moulins à vent !
En France, une recherche de paternité ne peut être menée sans autorisation d'un juge. Que faire contre les personnes qui enfreignent la loi ? Les sanctionner ? La disposition serait inapplicable. Il faut plutôt les mettre en garde.
La semaine dernière, M. Jean-Michel Costes, directeur de l'Observatoire français de lutte contre la drogue et la toxicomanie (OFDT), a dressé devant nous un tableau de la consommation actuelle de drogue en France ainsi que de ses principales tendances. Aujourd'hui, monsieur Étienne Apaire, vous nous exposerez la politique française de lutte con...
Comme il le sera, ne préjugez pas de ses propos !
Je vous prie de bien vouloir conclure.
Nous entendrons un certain nombre d'intervenants à ce sujet.
Elles ne constituent pas, en tout cas, l'objet de notre mission, qui est consacrée, je vous le rappelle, aux toxicomanies.
Les degrés d'information dont disposent les parlementaires mais, également, le grand public étant très divers, essayons d'avancer.
Des représentants des services de police, de la justice et de la santé seront bien évidemment entendus.
Je le répète, notre mission n'est pas dédiée aux salles d'injection !