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Interventions en hémicycle de Pierre Lequiller


441 interventions trouvées.

mais nos concurrents socialistes devront eux aussi être clairs » et voter non. Je vous le demande : que serait devenu le traité de Maastricht si, à l'époque, Jacques Chirac et Valéry Giscard d'Estaing ne s'étaient pas engagés pour le oui, sur la base de l'argument simpliste que François Mitterrand défendait le traité ? (Applaudissements sur le...

Devant ces flux contradictoires des oui et des non, François Hollande choisit la pire des solutions : renoncer à toute conviction et esquiver une fois de plus en se réfugiant, comme d'habitude, dans l'abstention. « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non », disait Martine Aubry. Mais où est son sens de l'État ? Où est le parti socialiste...

Nous, avec Nicolas Sarkozy, nous faisons le choix clair de dire la vérité aux Français et aux Européens. Les Français veulent un chef d'État qui tienne le cap dans la tempête, qui s'engage fermement et tout de suite pour lutter contre la crise. Naturellement, le groupe UMP votera avec conviction et cohérence en faveur du mécanisme européen de ...

Très brièvement, je rappelle que nous avons obtenu que figure dans le traité la création de la conférence interparlementaire budgétaire que nous souhaitions voir constituée. Elle réunira les membres des parlements nationaux, issus des commissions des finances et des commissions des affaires européennes ainsi que des membres du Parlement europée...

Madame la présidente, monsieur le ministre, chers collègues, la proposition de résolution européenne présentée par le groupe socialiste est, comme l'a souligné Pascal Brindeau, une proposition politique. Ce n'est d'ailleurs pas usuel, mais, à l'approche des présidentielles, on peut le comprendre ! Elle est un mélange hétéroclite de dispositions...

Vous, c'est la mystification que vous pratiquez dans la réalité !

La commission des affaires européennes a étudié cette affaire de taxe sur les transactions financières. J'insiste sur le fait que le Président de la République et Mme Merkel ont plaidé en ce sens au G20 ainsi qu'au sein de l'Union européenne. Voyant que l'affaire n'avançait pas, le Président de la République a pris l'initiative de l'engager en ...

À l'époque de Mazarine, il n'y avait pas d'observations ! (La motion de renvoi en commission, mise aux voix, n'est pas adoptée.)

Monsieur le président, monsieur le ministre, chers collègues, la proposition de résolution européenne que nous présentent M. Jean-Pierre Brard et plusieurs de ses collègues du groupe GDR a été rejetée par la commission des affaires européennes de notre assemblée, puis par la commission des finances. Malgré la présentation convaincue qu'en a fai...

avec des références historiques qu'il prise, le groupe UMP appelle de nouveau à son rejet. La critique ne porte ni sur l'objectif de lutte contre les abus de la spéculation financière, ni bien entendu sur la démarche franco-allemande, qui a amené les auteurs de ce texte et leurs collègues allemands du groupe Die Linke du Bundestag à élaborer ...

C'est évidemment insultant pour le Président de la République, mais encore plus pour la Chancelière allemande.