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C'est tout à fait marginal !
Ah bon ? Vraiment ?
Tout à fait !
Ben voyons !
Monsieur le ministre, vous vous félicitez d'une hausse de 2,1 % des crédits alloués à votre ministère. Cette performance, soulignée par l'ensemble des médias, est d'autant plus remarquable qu'elle tranche par rapport au contexte général de rigueur budgétaire, comme l'ont rappelé mes collègues, ainsi qu'avec les choix de plusieurs de nos voisins...
Le credo de la sanctuarisation du budget de la culture est, nous le savons bien, un exercice de style répété chaque année à cette tribune par vous et vos prédécesseurs, mais qui tranche singulièrement avec le retour que nous avons sur le terrain de la part des acteurs culturels, qui appellent les collectivités au secours en voyant leurs crédits...
C'est particulièrement significatif lorsque l'on regarde les crédits consacrés à l'achat d'oeuvres d'art. Car le patrimoine, ce n'est pas simplement la conservation, c'est aussi le développement du fonds patrimonial pour que ces lieux soient vivants et demeurent attractifs.
Oui, monsieur le président. Et là, le coup est rude : après deux années de stagnation à hauteur de 19 millions d'euros, ce qui est déjà considéré comme très insuffisant, les collections publiques vont devoir apprendre à faire avec 16,5 millions d'euros, soit une diminution supérieure de près de 10 %,
dans un secteur où, vous le savez, l'inflation est galopante. La réalité, c'est que le budget que vous nous présentez se contente de gérer les opérations déjà engagées, notamment dans le cadre du plan de relance. Ce n'est en aucun cas un budget qui permet de se projeter dans l'avenir, ce que nous ne pouvons que regretter. (Applaudissements su...
Hélas !
Heureusement !
C'est vrai !
C'est certain !
Monsieur le président, madame la garde des sceaux, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, je voudrais tout d'abord, comme je l'avais fait en première lecture, rappeler un chiffre qui doit nous inviter à la plus grande prudence. Notre pays compte en moyenne 4,5 salariés par avoué, contre 0,8 salarié par avocat. Le sort et les possibilités ...
Tout à fait !
Mais après ?
Nous aussi !
Du XIXe siècle !
Assumez !
Nous avons discuté hier de la suppression des alinéas 12 à 20, et je n'y reviens donc pas. L'esprit de la directive et la sagesse nous commandent toutefois de ne pas laisser à la seule appréciation de l'administration le soin de choisir qui peut ou ne peut pas disposer du délai de retour volontaire de trente jours. La privation de ce délai doit...