334 interventions trouvées.
Moi, je suis contre !
Si j'examine l'amendement de M. Louis Giscard d'Estaing avec l'attention qu'il mérite, on pourrait être mis à la retraite comme vice-président du Conseil d'État à l'orée de ses soixante-huit ans et nommé dans la foulée défenseur des droits pour les six années qui suivent. C'est dire si votre comparaison, mon cher collègue, se révèle quelque peu...
De plus, si l'on vote ce type d'amendements, je suis convaincu que, bientôt, on empêchera les parlementaires d'être élus au-delà de soixante-cinq ans. Évitons ce précédent qui pourrait fâcher certains d'entre nous. (L'amendement n° 267 n'est pas adopté.)
Très bien !
Merci, madame la présidente.
J'ai juste une question à poser.
Je vous remercie, madame la présidente, d'avoir noté qu'il s'agissait là du « point dur » de ce texte. Monsieur le garde des sceaux, j'aimerais vous interroger sur l'amendement de M. Bayrou. Tout le monde admet que le défenseur des enfants a acquis une position importante. Ce qui gêne M. Bayrou et tous ceux, nombreux à l'extérieur de l'hémicyc...
Cela change tout !
Cela n'a rien à voir !
Ce n'est pas du tout la même chose !
Il ne va pas être supprimé, mais intégré !
Madame la présidente, je n'ai même pas eu le temps de voter !
Cette manière de présider est vraiment pénible !
Qui peut le plus peut le moins. Ce qui est permis à une association l'est a fortiori à un syndicat. (L'amendement n° 4 n'est pas adopté.)
Très bien !
Une sagesse hostile !
Mme Buffet a insisté sur le problème du Défenseur des enfants, repris par les autres intervenants dans leurs explications de vote. S'il y a un point que je ne comprends pas très bien, c'est celui-là. On peut en effet avancer que la visibilité est moins forte quand on n'est pas distingué comme l'est aujourd'hui le Défenseur des enfants, et on po...
Mais vous n'en parlez jamais.
Le Défenseur des enfants, lui, n'a jamais pris la moindre position qui ait été contestée par quiconque dans ce pays.
Le seul regret que je pourrais avoir personnellement, le seul reproche que je pourrais lui adresser, c'est son silence assourdissant et son absence lors de l'affaire d'Outreau. Je l'ai vécue, vous le savez, et douloureusement, parce que c'était tout de même un échec de la justice : nous n'avons pas entendu le Défenseur des enfants. Demain, ave...