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Nous abordons l'examen des crédits relatifs à l'agriculture, à la pêche, à l'alimentation, à la forêt et aux affaires rurales, ainsi qu'au développement agricole et rural (nos 2857, annexes 3 et 4, 2860, tome I). La parole est à M. Henri de Raincourt, ministre chargé des relations avec le Parlement.
J'appelle les crédits de la mission « Agriculture, pêche, alimentation, forêt et affaires rurales » inscrits à l'état B.
J'appelle maintenant l'article 68 rattaché à la mission « Agriculture, pêche, alimentation, forêt et affaires rurales ».
Nous avons terminé l'examen des crédits relatifs à l'agriculture, à la pêche, à l'alimentation, à la forêt et aux affaires rurales.
L'ordre du jour appelle la suite de la discussion du projet de loi, adopté par le Sénat, après engagement de la procédure accélérée, de modernisation de l'agriculture et de la pêche (nos 2559, 2636, 2581). Le temps de parole restant pour la discussion de ce texte est de trente-neuf minutes pour le groupe UMP, dont vingt et un amendements restent en discussion ; deux heures cinquante pour le groupe SRC, dont quarante-deux amendements restent en discussion ; cinquante-quatre minutes pour le groupe GDR, dont vingt-huit amendements restent en discussion ; vingt-deux minutes pou...
La parole est à M. Bruno Le Maire, ministre de l'alimentation, de l'agriculture et de la pêche, pour donner l'avis du Gouvernement sur ces amendements.
Pour ma part, j'estime qu'il vaut mieux écouter les agriculteurs, qui se lèvent tôt pour aller travailler, plutôt que ceux qui nuisent, qui gênent, qui empêchent : même si le point de vue de ces derniers peut être considéré comme légitime, il faut savoir les remettre à leur place ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
L'ordre du jour appelle la suite de la discussion du projet de loi, adopté par le Sénat après engagement de la procédure accélérée, de modernisation de l'agriculture et de la pêche (nos 2559, 2636, 2581). Hier soir, l'Assemblée a continué d'entendre les orateurs inscrits dans la discussion générale. Le temps de parole restant pour la discussion de ce texte est de six heures trente-huit minutes pour le groupe UMP, huit heures trente et une pour le groupe SRC, trois heures trente pour le groupe GDR, deux heures cinquante-quatre pour le groupe Nouveau Centre et quarante minu...
Prochaine séance, ce soir, à vingt et une heures trente : Suite de la discussion du projet de loi de modernisation de l'agriculture et de la pêche. La séance est levée. (La séance est levée à vingt heures.) Le Directeur du service du compte rendu de la séance de l'Assemblée nationale, Claude Azéma
Nous abordons l'examen des crédits relatifs à l'agriculture, à la pêche, à l'alimentation, à la forêt et aux affaires rurales. La parole est à M. Nicolas Forissier, rapporteur spécial de la commission des finances, de l'économie générale et du plan, pour les politiques de l'agriculture et le développement agricole et rural.
La parole est à M. Gilles d'Ettore, rapporteur pour avis de la commission des affaires économiques, de l'environnement et du territoire, pour la pêche.
La parole est à M. Michel Barnier, ministre de l'agriculture et de la pêche.
Prochaine séance, cet après-midi, à quinze heures : Questions au Gouvernement, Suite de la discussion de la seconde partie du projet de loi de finances pour 2009 : Suite de l'agriculture, pêche, alimentation, forêt et affaires rurales ; développement agricole et rural (compte spécial) ; Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation. La séance est levée. (La séance est levée à treize heures dix.) Le Directeur du service du compte rendu de la séance de l'Assemblée nationale, Claude Azéma
...é leur production pour vendre au printemps. Cette disposition aura donc peu d'effet. Au plan national, monsieur le ministre, nous disposons du levier de la baisse des charges. Il faut activer très vite le FAC, le fonds d'allégement des charges. Grâce à ce fonds, nous pourrons relayer les efforts de la MSA. Il s'agit en quelque sorte d'appliquer à la production porcine ce qui a été décidé pour la pêche. C'est indispensable. Cette crise doit également être l'occasion de remettre à plat un certain nombre de dispositifs. Monsieur le ministre, lorsque le Président de la République vous a nommé, il vous a adressé une lettre de mission dans laquelle il vous demandait de favoriser l'organisation de l'offre, et je sais que vous êtes très sensible à cette préoccupation. Les paysans veulent en effet se ...
Monsieur le ministre, vous avez parfaitement compris notre préoccupation. L'amendement n° 242 aboutit, par des voies différentes, au résultat que nous souhaitions atteindre. J'ai bien noté que se cumuleront un abondement de 3 millions et un redéploiement interne de 2 millions au sein du programme « Gestion durable de l'agriculture, de la pêche et développement durable ». Vous vous engagez à affecter ces crédits à la politique en faveur de l'installation des jeunes, qui nous mobilisent tous. Je vous remercie et je retire mon amendement. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)