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Ces PME travaillent avec de grands groupes ?
Quelle est la place des PME dans Cosmetic Valley ? Dans quels domaines effectuent-elles de la recherche et développement (R D) ?
Quelles sont les relations entre ces PME et les grands groupes ?
Des PME travaillent donc sur des projets de recherche avec des instituts ou des laboratoires ?
...le pôle ne doit pas être une machine à sortir des projets de recherche financés. Il doit s'inscrire dans un cadre plus large de développement économique du territoire, de lobbying et d'image ». Les deux fonctions ne sont pourtant pas contradictoires. Il est vrai que vous ajoutez : « Je pense que se limiter à cet aspect les projets de recherche financés ne participe pas au développement de nos PME et profite essentiellement à de grosses entreprises. » Les PME n'ont-elles donc pas la possibilité de s'inscrire dans de tels projets ?
Quel est l'apport des pôles pour une PME en termes de qualité des projets ?
Les pôles de compétitivité ont-ils réellement facilité les contacts entre les PME et les grands groupes ?
Ces relations sont-elles conciliables avec le souci de protéger l'innovation de la PME ?
Je reviens à CDC Entreprises. Le choix des PME se fait-il avec les pôles de compétitivité ? Êtes-vous associé à un comité d'éligibilité ?
Les projets de recherche-développement peuvent néanmoins déboucher sur des demandes de financement de la part de PME. Comment tout cela s'articule-t-il ?
Pour revenir au problème de la valorisation, une des missions des pôles de compétitivité ne serait-elle pas de renforcer les relations entre les organismes de recherche, les universités et les PME ?
Revenons sur la recherche et développement : n'est-ce pas ce qui manque aujourd'hui aux PME ?
Les PME font donc assez de recherche et développement et n'ont pas besoin d'alliances dans ce domaine ? Je pensais que si beaucoup de grands groupes avaient bénéficié de financements de la part des pôles de compétitivité, c'est que les PME avaient du mal à présenter des dossiers de financement.
Pour en revenir à la recherche et développement, vous considérez donc que les PME pourraient se passer des pôles de compétitivité ?
Comment ? Emmanuel Leprince. Il faudrait qu'ils apportent une valeur ajoutée en aval en permettant aux PME de faire du business avec de grands groupes. Dans l'état actuel des choses, c'est impossible parce que les représentants des grands groupes viennent de leur section de recherche et développement, pas des achats.
Qu'en est-il de la propriété intellectuelle ? Dans le domaine de la santé, par exemple, une des difficultés des PME innovantes est qu'au moment de la valorisation des contrats de propriété intellectuelle, elles doivent faire face à une multitude d'interlocuteurs.
En quoi les pôles empêchent-ils les PME innovantes de faire individuellement de la recherche et développement ? Pourquoi ne peuvent-elles pas répondre aux appels d'offre dans cette matière ?
Comment expliquez-vous ce problème particulier des PME ? Ont-elles peur de se confronter aux grands groupes ? Ont-elles des difficultés particulières avec les organismes de recherche ?
Comment associer les PME ?
... d'accueillir M. Hervé Bernard, administrateur général adjoint du Commissariat à l'énergie atomique, accompagné de M. Jean-Claude Petit, directeur des programmes, et de M. Jean-Pierre Vigouroux, chargé des relations institutionnelles. Comment le Commissariat à l'énergie atomique participe-t-il aux pôles de compétitivité ? Selon vous, ces pôles ont-ils facilité l'innovation ? Ont-ils permis à des PME tant d'investir dans la recherche-développement que de se rapprocher de grands groupes industriels ? Quel premier bilan en dressez-vous ?