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Monsieur le ministre, on sent chez vous un certain manque d'enthousiasme, qui tient peut-être au « rapport sur l'évolution de la situation économique » qui précède le dispositif de votre projet de loi et dans lequel il apparaît que, selon vous, la situation n'a pas changé depuis novembre. Ainsi, votre plan de relance ne correspondrait pas à la ...
Monsieur le ministre, vous n'êtes plus à la direction de l'UMP. Ces arguments ne conviennent pas à votre nouvelle fonction.
En deuxième lieu, vous faites valoir qu'il nous faut aussi compter sur les plans de relance des autres. De fait, les autres pays peuvent importer des produits fabriqués en France. À l'inverse, avez-vous analysé la consistance des autres plans de relance et les avez-vous comparés au vôtre ? En particulier, la stimulation de la consommation, très...
Ce ne sont pas des « graffitis », c'est : « Oui au repos dominical ».
Bien sûr ! Nous sommes tous convaincus ! (Sourires sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
Encore heureux !
Je vous remercie, monsieur le président Poniatowski, de m'avoir convié à cette réunion de la Commission, qui me vaut le plaisir de vous retrouver, monsieur le président de l'Assemblée nationale de la République islamique de Mauritanie, ainsi que beaucoup de ceux qui vous accompagnent, vous que je connais depuis longtemps, depuis la commune de T...
Et qui paiera ces 8 % ?
Nos amendements ne sont pas des amendements techniques, pas plus que les réponses que vous nous avez faites ne se résument à leur contenu technique. S'il en est ainsi, c'est que nous sommes dans un contexte économique particulier : nous sommes entrés en récession, et même à la veille d'une aggravation de cette récession. Chacun le mesure et cha...
Le rapporteur général a parlé d'1,1 milliard !
Il est aussi soutenu par M. Kucheida !
Unanimité appréciable, et appréciée ! (Sourires)
C'est vrai !
Et en russe, vous vous y connaissez !
Vous voulez dire 2,9 %
C'était en 1992
C'est cela.
Dommage !
Personne dans cet hémicycle n'a à donner de cours de morale ni de leçons de maîtrise des dépenses publiques.
Je suis persuadé que nous pourrions trouver sur tous les bancs des exemples de très bonne gestion et de mauvaise gestion. Il suffit de consulter les rapports des chambres régionales, et éventuellement de la Cour des comptes, pour s'en apercevoir. Personne, donc, ne doit donner de cours de bonne gestion.