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481 interventions trouvées.

De 1997 à 2002, le nombre de demandeurs d'emploi est passé de 12,7 % à 8,7 %. On peut toujours considérer que le contexte économique n'est pas le même, mais quand il se dégrade il faut être encore plus volontariste en termes d'emplois aidés. Les préfets ont ordre aujourd'hui de réaliser des réunions dans les quartiers à l'initiative du ministè...

Ma question s'adresse à M. le secrétaire d'État chargé de l'industrie et de la consommation. Il ne fait pas bon être sidérurgiste en France aujourd'hui. À Gandrange, plusieurs centaines d'intérimaires et de sous-traitants ont été licenciés. Quand aux 600 salariés d'ArcelorMittal, le Président de la République leur avait d'abord promis le maint...

Il n'en fut rien. Un an après, le 7 février, lors de son intervention télévisée, le même Président et vous-même, monsieur le secrétaire d'État chargé de l'industrie, en Lorraine, aux côtés des dirigeants d'ArcelorMittal, avez pris l'engagement, par votre signature, de reclasser tous ces sidérurgistes dans des sites voisins, et plus particulière...

Pour Florange, mais aussi pour Fos-sur-Mer, pour Dunkerque, pour Mardyck, pour Mouzon, pour Fumel, pour Montataire, pour Gueugnon, pour le Creusot, pour Héricourt, quelle est l'action de la France en Europe pour lutter contre ces stratégies financières et contre le dumping social pratiqué par ces producteurs ? Monsieur le secrétaire d'État, d...

Nous sommes dans un débat classique entre politique de relance par la consommation ou par l'investissement, entre politique de l'offre et politique de la demande. Les deux ne sont pas incompatibles. Mais, à l'heure où la crise nous atteint aussi durement, la relance par la demande est nettement insuffisante. Vous avez, monsieur le président Mé...

J'étais inscrit sur l'article, mais puisque je n'ai pas pu intervenir, j'adopte une solution de rattrapage. Je suis sûr que vous m'écouterez avec attention, madame la ministre !

J'abonderai d'abord dans le sens de l'intervention de Mme la ministre : je me réjouis de sa volonté de reconnaître les territoires, et leurs spécificités même si celles-ci ne sont évidemment pas incompatibles avec une vision nationale de la politique sanitaire et sociale. J'aborderai ici la question du régime local de l'Alsace-Moselle, qui d...

Je ne voudrais donc pas que le décret règle après-coup des questions que nous pourrions aborder ici. Ainsi, le texte fait allusion à des agences interrégionales : est-ce que cela pourrait s'appliquer à ce cas précis ? La région Lorraine est en effet composée de quatre départements, mais seule la Moselle est concernée par le régime local. Vous a...

Deux collaborateurs avaient pourtant confirmé mon inscription.

Je souhaite faire quatre observations. Premièrement, on ne peut ignorer le nombre important de médecins ou de membres de professions paramédicales qui ont été formés en France et qui travaillent aujourd'hui à l'étranger, au Luxembourg par exemple. Cet élément doit être pris en compte, car il est difficile de considérer comme une injustice le f...

Monsieur le Premier ministre et monsieur le ministre du travail, aucune réponse n'a été donnée à notre collègue Jean Glavany sur la montée du chômage. C'est pourtant bien votre gouvernement qui a incité les entreprises à allonger les heures supplémentaires, au lieu de revaloriser les salaires comme il eût été nécessaire.

C'est également votre gouvernement qui a proposé d'augmenter la rémunération des heures supplémentaires au lieu de créer des emplois. Vous allez plus loin encore, aujourd'hui, puisque vous voulez faire travailler les Français le dimanche.

Ce serait selon vous la solution : certains se retrouvent au chômage ou au chômage partiel, et vous proposez à d'autres de travailler le dimanche ! Il s'agirait, soutenez-vous, d'une loi emblématique, tout comme, d'ailleurs, la proposition de travailler jusqu'à l'âge de soixante-dix ans. On ne peut plus travailler pendant la période d'activité,...

Le Président de la République nous a promis, à Gandrange, là où il disait faire son voyage de noces, de revenir en Lorraine avec M. Mittal pour annoncer, notamment, les 300 millions d'euros d'investissements nécessaires à la pérennisation de la sidérurgie. Il n'est pas revenu.

Promesse non tenue ! Pire, nous avons le sentiment qu'Arcelor Mittal se contentera du minimum légal et que l'État quasiment absent pèsera très peu lorsqu'il s'agira de demander davantage à l'entreprise. Quand il nous a reçus à l'Élysée, le Président nous avait promis qu'il reviendrait en Lorraine avant la fin de l'année pour s'expliquer s...

Ces suppressions d'emplois ont pour principal objectif de maintenir le cours de l'action d'Arcelor.

Si rien n'est fait pour les empêcher, ce sont les pays émergents ou l'Allemagne qui produiront l'acier. Nous avons bien compris : tout ou l'essentiel pour les dividendes des actionnaires, alors que les politiques de formation et d'investissement à même d'assurer notre place dans le monde (« La question ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP)

et de garantir des emplois stables correctement rémunérés ne sont pas votre priorité, comme elles ne sont pas la priorité des groupes industriels. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR. Protestations sur les bancs du groupe UMP.)

Monsieur le ministre, mes chers collègues, le Président de la République vient de nous reparler d'emploi, mais la France a la gueule de bois. En effet, notre pays se réveille en ayant l'impression que la politique ultralibérale que vous menez depuis plusieurs années sur le front du travail est totalement inadaptée, et surtout qu'elle procède dé...