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481 interventions trouvées.

Monsieur le haut-commissaire, j'ai l'impression d'assister à un remake de ce que nous avons vécu sous le précédent gouvernement. J'espère simplement pour nous tous, pour les Français, que l'objectif que vous souhaitez atteindre sera à la hauteur de vos espérances. J'en doute néanmoins, parce que j'ai le sentiment que nous souffrons d'une double...

En effet, quelle est la réalité sur le terrain ? Quand je disais à M. Borloo que l'on supprimait des adultes relais sur le terrain, il me répondait que c'était faux. Or, après vérification, il a bien fallu constater que ces emplois étaient bien supprimés, et on a dû licencier ces personnes pour les réembaucher quelques mois plus tard.

Le FSE que touche un atelier permanent de recherche d'emploi en Lorraine à hauteur de 150 000 euros sur trois sites non seulement n'est plus garanti pour l'avenir, mais il est purement et simplement supprimé. Que proposez-vous pour le remplacer ? Sans lui, ces chantiers d'insertion, ces ateliers permanents de recherche d'emploi vont s'arrêter p...

Vous en avez d'ailleurs parfaitement conscience, je n'en doute pas un seul instant !

Le RSA restera un sigle, comme le RMI. Le vrai problème pour nous est de savoir s'il sera simplement le remplacement d'allocations de solidarité qui devront être plus nombreuses et plus coûteuses pour les départements, ou s'il faudra malheureusement faire le constat qu'il n'aura permis ni de donner plus de travail, ni d'augmenter le pouvoir d'a...

Nous traversons actuellement une période où, malgré une situation démographique plutôt favorable, le chômage repart à la hausse. Dès lors, on peut imaginer que le RSA sera sollicité par des personnes qui ne travaillent pas ou par des personnes qui travaillent en cas de faible reprise. Or cette reprise ne peut venir que du monde de l'entreprise....

Il me semble que vous commettez une grave erreur. Si l'on souhaite faire du RSA un véritable outil de rapprochement de l'économique et du social, si l'on veut que chacun puisse se dire qu'il peut retravailler même s'il bénéficie d'un dispositif social, et retrouver ainsi sa dignité, il faut que l'on impose aux chefs d'entreprise de s'impliquer ...

Dans la mesure où il nous reste peu de temps pour débattre ce soir et compte tenu de ce que vient de dire Christophe Sirugue, je renonce à mon temps de parole.

Au-delà des amendements que nous défendons, il s'agit d'un débat de société. Nous sommes favorables à une social-démocratie qui, parmi ses principes de base, théorisés depuis longtemps, compte en particulier la relance par la demande. Celle-ci suppose que l'on aide ceux qui n'ont pas assez de pouvoir d'achat. Or, pour des raisons idéologiques e...

Je voudrais tout d'abord faire remarquer que la réflexion qui a été faite tout à l'heure concernant les virgules est tout à fait déplacée, et n'avait d'ailleurs strictement rien à voir avec le débat. Je rappelle également, mais c'est une évidence, que nous parlons d'euros et non de francs, et qu'un euro, c'est tout de même 6,55 francs. Nous ne...

Nous sommes faut-il le rappeler ? sous la Ve République, dans laquelle le moins que l'on puisse dire est que le Parlement n'est pas au centre du dispositif institutionnel.

La majorité, par la voix de M. Copé, ayant interpellé l'opposition, je souhaiterais répondre, mais je constate, une fois de plus, que l'intéressé est parti, ou plutôt qu'il est présent sans écouter les orateurs. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)

C'est peut-être une pratique courante à l'UMP. Nous n'avons pas la même conception

Cet amendement est symbolique du rôle que nous souhaitons donner à l'Assemblée nationale dans le cadre de la démocratie représentative démocratie représentative que nous souhaitons promouvoir, et qui n'est d'ailleurs que le parallèle de la démocratie sociale que nous souhaitons voir fonctionner dans l'entreprise. Nous demandons des règles de...

Nous n'avons pas parlé, jusqu'à présent, des très hauts salaires. Nous voulons qu'au sein de chaque entreprise, des règles soient posées pour encadrer les écarts entre rémunérations. Ces dernières années, la répartition entre le capital et le travail s'est faite à sens unique en faveur des revenus du capital, et si nous insistons, si les débats...

au point que les plus défavorisés sont obligés d'emprunter non seulement pour investir, mais aussi parfois pour vivre !

Le Président de la République s'est rendu à l'étranger pour parler de la crise internationale. Il faut que nous en parlions aussi en France, dans cette enceinte, car il est important que les Français sachent que nous essayons de comprendre les dérives du capitalisme financier,

qui aboutissent à ce que les uns perçoivent des rémunérations excessives tandis que les autres sont obligés d'emprunter pour vivre. Ces amendements n'ont d'autre objet que de fixer des règles plus justes, concertées, dans l'entreprise, car c'est l'entrepreneur qui fixe les salaires, non l'Assemblée nationale.

Nous abordons des sujets particulièrement importants parce qu'ils ont trait non seulement à la justice sociale, mais aussi à l'efficacité économique.