Les amendements de Maxime Gremetz pour ce dossier
32 interventions trouvées.
Ce n'est pas aux magistrats qu'il faut s'en prendre, mais à la ministre de la justice ! (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Et les 44 millions de détenteurs de livret A ? Ce ne sont pas eux qui ont spéculé, mais ce sont eux qui vont payer !
L'emploi ! Le Gouvernement n'a que ce mot à la bouche. Et pourtant, madame la ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi, vous lisez sans doute tous les jours, comme moi, Les Échos. Sanofi-Aventis, ex-Rhône-Poulenc à Vitry : 450 licenciements. Kléber à Toul : 826 licenciements annoncés par Michelin avant fermeture du site. Essex à C...
Pour le bassin d'Amiens, la liberté, c'est de compter demain 30 % de chômeurs au lieu de 15 % aujourd'hui. (« La question ! » sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Vous ajoutez que, si ce groupe abandonnait Amiens, il serait dans l'obligation de revitaliser le site. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Madame la ministre de l'économie, des finances et de l'emploi, le 22 janvier, je vous alertais sur la grave menace pesant sur les deux entreprises Goodyear et Dunlop et sur l'avenir du site industriel d'Amiens. La direction américaine veut imposer les quatre fois huit aux 2 700 salariés et la suppression de 450 emplois. Consultés par référendum
ils ont dit non. M. le préfet, le président d'Amiens Métropole et moi-même avons demandé au Gouvernement de rencontrer la direction du groupe pour lui rappeler ses devoirs, le respect du droit français et la nécessité d'ouvrir de vraies négociations. Le compte rendu de vos contacts, madame la ministre, nous laissait espérer que l'engagement d...
Madame la ministre, il s'agit d'une provocation contre laquelle les syndicats préparent, à la mi-février, une riposte d'envergure que nous soutenons pleinement. Il semble bien que la stratégie du groupe américain soit de liquider purement et simplement ces deux entreprises. Le Gouvernement est placé devant une grande responsabilité pour sauver...
deux entreprises et un site. Dès lors, après les déclarations du Président de la République affirmant l'engagement financier de l'État pour le maintien de l'outil de production à Gandrange et de Michelin à Toul, on comprend que les syndicats et les salariés n'en attendent pas moins pour les 2 700 salariés. (« La question ! » sur les bancs du ...
Vous savez pourquoi, madame la ministre ! C'est la loi du fric ! (Vives protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
C'est quoi, la question, monsieur le président ? Ce n'est pas une question, ça ! C'est de la propagande ! Qui appelle un droit de réponse, d'ailleurs !
Ma question s'adresse au Premier ministre. Je tiens avant tout à exprimer notre soutien total à tous les salariés qui agissent pour défendre leur retraite contre la politique de régression sociale du Gouvernement. D'ailleurs, 54 % des Français soutiennent le mouvement social de grande ampleur qui s'annonce. (Exclamations sur les bancs du group...