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Comme l'a souligné le rapport d'évaluation de la loi du 22 avril 2005, la notion de dignité, c'est-à-dire l'affirmation que l'homme est reconnu comme ayant une valeur absolue, est inscrite dans le Préambule et l'article 1er de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948. Notre proposition ne heurte pas ce principe ; bien au contra...
Je voudrais conclure sur l'un des autres débats, soulevé cette fois par Jean Leonetti, et sur sa logique fondée sur l'opposition de deux démarches : l'éthique de l'autonomie et l'éthique de la vulnérabilité. Je souhaite rappeler qu'il paraît pour le moins réducteur est-ce d'ailleurs à la hauteur du débat qui a lieu dans cet hémicycle sur ce ...
Acceptez tout de même que l'on puisse évaluer votre loi et que l'on veuille la changer si l'on considère qu'elle ne répond pas, aujourd'hui, à l'attente des malades. Je souhaite également rappeler que la vulnérabilité n'est pas éloignée de nos préoccupations. Il n'y a pas pardon de cette expression de monopole de la volonté de répondre à l...
Comme d'autres, j'ai étudié ces sujets avec attention, je me suis déplacé pour voir comment on pouvait répondre à ces souffrances. Ces réflexions qui ont abouti à ce texte de loi, ce sont celles d'hommes et de femmes qui partagent les mêmes valeurs, celles de notre République, mais qui ont aussi le sentiment qu'il faut faire évoluer notre socié...
Je vois une continuité entre ces débats et celui que soulèvent aujourd'hui celles et ceux qui défendent un nouveau droit, qui est la possibilité de terminer sa vie dans la dignité. (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe SRC. Exclamations sur plusieurs bancs du groupe UMP.)
C'est dans cette continuité, c'est au nom de ces valeurs, au nom de cette conception de la laïcité et de la République que nous défendons cette proposition de loi, mais c'est également au nom de l'idée que nous nous faisons de l'homme et de l'individu. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Eh non !
Allez, un bon coup de brosse à reluire !
Justement, il faut en finir !
Garde à vous, Myard ! (Sourires.)
C'est la transhumance parlementaire !
Où sont les autres ? (Rires.)
À coups de hache, oui !
Et le Gouvernement, plutôt !
L'opposition ne peut pas parler : les droits de l'opposition sont bafoués !
Très bien !
Vous n'êtes plus au Sénat !
Le président de la commission porte une grande responsabilité !
On a un dossier sur vous, monsieur Ollier ! (Sourires.)