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Les amendements de Jean-Pierre Brard pour ce dossier

376 interventions trouvées.

Révélateur, mais pas forcément à l'avantage de François Jacob, vous en conviendrez, car les deux ne se situent pas sur le même plan !

Il y a une grande différence entre Jean-François Copé et Christian Jacob. Quand on voyait le premier arriver dans l'hémicycle, cela sentait son adjudant-chef qui faisait serrer les rangs. Avec Christian Jacob, ce n'est pas la même chose : c'est l'agriculteur, tout en rondeur. Quand une vache s'écarte du troupeau, il l'appelle gentiment par son ...

On m'a interdit les graphiques et les objets, mais pas encore interdit les images rhétoriques, madame la présidente ! Ou alors, il faudra que vous me disiez comment vous comptez me faire taire. Bref, avec l'un comme avec l'autre, le résultat est le même : les députés UMP ne tiennent pas du tout compte des intérêts de nos concitoyens.

Bien sûr que si, et vous le savez ! Contrairement à vous, je n'ai pas besoin de me convaincre moi-même. Je ne fais pas partie de la famille Coué, alors que, chez vous, il y a quelques adeptes ! (Sourires.) Pour achever votre édification, je voudrais vous citer un économiste qui n'est pas vraiment marxiste : Milton Friedman. Il disait : « Rien ...

Vous savez que nous y avons des amis, qui nous racontent tout, c'est formidable ! (Sourires.) François Fillon, disais-je, a déclaré qu'il n'était pas exclu de devoir adopter un nouveau projet de loi de finances rectificative après les fêtes de fin d'année. Cela, vous ne vous en êtes pas vantés, mais le Premier ministre l'a dit. Or normalement, ...

La semaine dernière, nos collègues du Sénat ont eu la sagesse de supprimer les crédits relatifs au déménagement de RFI des locaux de Radio France. J'ai le regret de constater que cette majorité, à l'inverse du Sénat, a choisi de réintroduire une mesure fermement combattue par les salariés. Ils sont mobilisés en nombre depuis des mois, et les q...

Le rapporteur général, à propos de RFI et de France 24, a expliqué qu'il s'agissait de maîtriser les dépenses, mais on sait bien que, dans l'esprit du Président de la République, maîtriser a un autre sens : c'est la muselière. Vous le savez comme moi, RFI est très écoutée, notamment en Afrique, et a une voix libre, ce qui déplaît foncièrement ...

Quand M. de Courson parle des travailleurs, il y a vraiment de quoi mourir de rire. Il parle d'une espèce qu'il ne connaît pas, sauf peut-être de façon livresque, et encore. (Protestations sur quelques bancs du groupe UMP.) Mais il y a une façon très simple de ne pas encourir le risque qu'évoque, de façon toute théorique, M. de Courson. C'est ...

Pour bien dialoguer il faut savoir de quoi l'on parle et être par conséquent d'accord sur le sens des mots. Or, depuis hier soir, nous sommes victimes d'un certain obscurcissement. Je m'adresse à vous, madame la présidente, pour savoir s'il vous est possible de saisir la Conférence des présidents pour qu'elle-même saisisse l'Académie française...

Précisément, mon cher collègue : comme il y a d'autres îliens ici, je me demandais si cela n'allait pas, par exemple, jusqu'à la Nouvelle-Calédonie (Sourires.)

Selon un récent rapport du Conseil des prélèvements obligatoires, les niches fiscales et sociales coûtent chaque année 150 milliards d'euros à l'État. Vous imaginez les ressources dont vous disposeriez, madame la ministre, si toutes ces niches illégitimes étaient supprimées. L'article 200-0 A du code général des impôts dispose que le montant d...

L'amendement n° 261 vise à instaurer pour les établissements de crédit une taxe additionnelle à l'impôt sur les sociétés à hauteur de 15 %. L'idée d'une taxation spéciale des banques n'est pas neuve, mais il en va de même que pour la taxe Tobin : encore faut-il la mettre en oeuvre ! Vous avez vu que, pour la taxe Tobin, le cheminement a été lo...

En effet, madame la présidente, mais vous savez, quand on est au combat, on fait comme on peut pour essayer, malgré tout, de se donner du temps. Nous sommes dans un état d'esprit coopératif et souhaitons donner le temps à Mme la ministre de réfléchir ; quelques minutes supplémentaires lui seront fort utiles car elle paraît ce matin quelque peu ...

La répétition est certes une arme de la pédagogie, mais elle peut être aussi une marque de sénilité. (Rires.) Je vous propose donc que nous ne passions pas trop de temps sur ce sujet.

Mais tout de même, mes arguments, auxquels s'ajoutent ceux de M. Caresche, qui connaît bien ces sujets, méritaient mieux, me semble-t-il, que ce « défavorable » ! (Les amendements nos 261 et 241, successivement mis aux voix, ne sont pas adoptés.)

Personne ne met en cause le caractère méticuleux, acharné, consciencieux, moral, du travail du rapporteur général. À mon avis, dans une vie future, il pourra prétendre entrer dans l'ordre de saint Benoît, tellement ce travail est méticuleux.

C'est un avenir qui garantit les plus belles perspectives, pour ceux qui y prétendent, bien sûr. Il est vrai que retirer des avantages qui ont été consentis, c'est comme retirer une pièce d'un puzzle. Même si je considère qu'ils ne sont pas utiles, ils jouent quand même un rôle. C'est donc tout un processus qu'il faut mettre en place pour démo...

En apparence, nous discutons d'un sujet technique, et il a été question de la convergence franco-allemande. Mes chers collègues, quels sont ceux parmi nous qui connaissent la fiscalité allemande et peuvent la comparer, terme à terme, à la fiscalité française ?

Si je vous distribuais une feuille à vrai dire, il n'y aurait pas besoin d'une feuille, un quart de feuille suffirait la plupart d'entre nous n'aurait rien à écrire. C'est un terme de propagande sarkozyste abondamment repris, alors que la réalité n'est pas connue !

Elle ne peut pas prendre d'engagement pour le moment où elle ne sera plus là ! (L'amendement n° 14 est adopté.)