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Lumineux !
C'est intéressant et instructif !
Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, je vais commencer par citer une phrase dont je pourrais assumer le contenu, au mot près : « Notre fonction publique est l'une des plus remarquables du monde par la qualité de ceux qui s'y engagent,
« par leur haut niveau de qualification, par leur moralité et par leur professionnalisme. En France, le service public, ce n'est pas seulement une profession, ce n'est pas seulement un métier, c'est une vocation. »
De qui sont ces mots ? Les reconnaissez-vous, madame la ministre ? Ce sont ceux du président Sarkozy qui, lors d'une allocution en septembre 2007 peut-être même a-t-il récidivé en septembre 2009 devant des fonctionnaires, car il avait choisi son public, définissait les nouvelles pistes de sa politique concernant la fonction publique. Ce dis...
Voilà le but qui est le vôtre ! Cette obsession transpire de tous les textes que vous prônez.
En tout cas ce que je dis provoque quelques remous. Quant à votre rupture par rapport à la droite ancienne, selon le discours du Président de la République, elle n'est qu'un leurre, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, mesdames, messieurs les députés de la majorité. Vous êtes et vous resterez les pourfendeurs du service public.
Eh si ! Vous demeurerez les protecteurs des intérêts privés de quelques-uns.
Ce ne sont pas des bêtises !
La fonction publique d'État était une exception française dont nous avions le droit d'être fiers je crains de ne pouvoir qu'utiliser l'imparfait. Je le répète : notre modèle social et notre fonction publique sont des exemples, qui ont montré leur efficacité par-delà les soubresauts de l'histoire. Pour quelles raisons alors remettre en cause l...
Ce projet de loi avait été discuté avec les partenaires sociaux ; vous n'avez retenu aucune de leurs préoccupations en ce qui concerne les infirmières. Les professionnels, les syndicats et l'opposition vous demandent de revoir votre copie, de revoir l'article 30. Je conclus en soulignant qu'il est temps d'écouter l'expression de la volonté gén...
Je déplore ce qu'ils subissent. C'est la raison pour laquelle je vous demande de faire preuve de beaucoup plus d'humanité et d'humanisme. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Elle n'a jamais souscrit d'emprunt !
Madame la présidente, madame la ministre, monsieur le rapporteur, j'irai très vite car ceux qui m'ont précédé ont largement enrichi le débat et manifesté, notamment les intervenants du groupe socialiste (Sourires), un certain nombre de préoccupations que je partage. Je me livrerai donc à quelques observations d'ordre général et je citerai des ...
Aujourd'hui c'est la triste réalité de notre société beaucoup de ceux qui travaillent ne peuvent même pas avoir une vie décente. C'est d'ailleurs depuis 2002 qu'est apparu le fameux vocable de « travailleurs pauvres » pour désigner des gens qui travaillent et qui, malgré un dur labeur, ne peuvent effectivement pas finir le mois.
Alors, je le dis, là encore sans aucun esprit de provocation : avant de gagner en 2012 et de mettre fin à votre système économique qui repose sur cet injuste, voire infâme « boulet fiscal », il est de notre devoir d'encadrer certaines pratiques qui poussent chaque jour de plus en plus de ménages modestes vers des situations inextricables. En a...
mais vous avez tout de même une preuve flagrante des hésitations de nos tribunaux, qui ont besoin aujourd'hui que la loi soit claire. La confusion en la matière est volontairement maintenue par des créanciers qui brandissent l'arme de la solidarité, même lorsque celle-ci n'est pas censée s'appliquer. Nombreux sont donc les débiteurs mal infor...
Vous le voyez aujourd'hui : les socialistes, non seulement ont des idées, mais sont capables de faire des propositions ! (Sourires.) Ils ne demandent donc qu'à être entendus et suivis, notamment sur ces propositions qui sont essentiellement constructives. Je vous remercie donc d'avance de bien vouloir nous suivre ! (Applaudissements sur les ban...
Une fois de plus, je déplore d'avoir à le dire, nous allons légiférer sous le coup de l'émotion. Une fois de plus, notre travail se calque sur l'actualité médiatique. Une fois de plus, des groupes de pressions nous prennent en otage pour faire passer leur message. Je le dis haut et fort : donnons de la hauteur au travail parlementaire, évitons...
Il me revient ici en mémoire les visages apeurés, défaits, des jeunes délinquants que je devais défendre devant le tribunal. Pour la plupart, ils étaient terrorisés à l'idée de comparaître devant leurs juges. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)