Interventions de Jacques Desallangre

C'est nul !

À la Saint-Glinglin !

Vous avez cédé devant le lobbying ! Tout était prêt !

Il a été rappelé combien le projet du Gouvernement manque d'ambition et n'apporte aucune réponse réelle au déséquilibre structurel de la relation entre les clients etou usagers isolés et les grandes entreprises de services comme la distribution, voire les administrations. L'écrit est mauvais, monsieur le secrétaire d'État, mais peut-être allez...

C'est la pédagogie de la répétition ! (Sourires.)

Ils ne reviennent pas dessus, ils les corrigent !

Nous y serions favorables !

Monsieur le secrétaire d'État, vous y aviez tout de même réfléchi !

Quinze fois moins que pour les riches !

Oh !

Quelle suffisance !

Moi, ce sont les stocks options qui me font peur, par leur importance !

Et le temps passe vite !

Monsieur le président, monsieur le ministre, mon intervention portera sur un sujet qui ne figure pas dans votre budget, bien qu'il soit d'une importance capitale : la participation de la France à l'OTAN. (« Ah ! » sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.) En effet, vos projets en la matière sont ambitieux,

mais inquiétants. Or je n'ai trouvé dans le « bleu » budgétaire aucune trace d'indicateur spécifique ou synthétique précisant le niveau de nos engagements financiers, matériels et humains : l'OTAN n'existe pas dans les documents et dans le projet de loi soumis à notre approbation. Cette carence empêche la représentation nationale de disposer ...

Ils sont de moins en moins nombreux !

Ce n'est pas en cinq minutes que je pouvais le faire !

C'est jésuite, un point c'est tout !

Même sur le dos des anciens combattants !

Non ! Et l'allocation différentielle ?