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Interventions de Gérard BaptLes derniers commentaires sur Gérard Bapt en RSS


2035 interventions trouvées.

Indépendamment des propos de nos collègues, se pose le problème de la continuité des soins. En urgence, il peut être capital de disposer d'une kaliémie ou d'une gazométrie pour ne pas faire de geste contraire à l'intérêt du patient dans une situation donnée. Or quelle assurance aurons-nous si les services hospitaliers disparaissent progressiv...

Madame la secrétaire d'État, monsieur le président, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, cette proposition de loi, fût-elle quelque peu tardive, est effectivement bienvenue. Je viens d'ailleurs d'apprendre par Mme Lemorton que celle du groupe socialiste dont j'avais pris l'initiative et que nous avions déposée l'a été vingt-quatre heure...

Mais je suis heureux que nous nous rejoignions aujourd'hui dans l'intention de corriger ce qui est une grave préoccupation pour les gestionnaires d'établissements hospitaliers et d'adopter ce qui est une mesure de justice pour ces praticiens ayant des diplômes acquis hors Union européenne, sous réserve bien entendu des différentes conditions én...

Je pense que ce genre de déclarations ne sied pas du tout à la situation que nous connaissons. Permettez-moi, madame la secrétaire d'État, pour conclure cette courte intervention de rappeler qu'aux côtés de notre collègue M. Chassaigne, nous avons agi en faveur d'un médecin syrien pratiquant à l'hôpital de Thiers. Je m'y suis intéressé, car il...

excellent, en effet, d'après sa hiérarchie et ses collègues. Or sans son activité, dans une ville comme Thiers, le seul chirurgien orthopédiste restant n'aurait pas pu maintenir le service ouvert. J'en profite donc, madame la secrétaire d'État, pour appeler à nouveau votre attention sur la situation de ce chirurgien d'origine syrienne dont la...

Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, nous voici parvenus à la phase finale de cette première étape du renforcement de la pharmacovigilance. Pour autant, contrairement à ce qu'indiquait M. le rapporteur, nous ne pouvons pas considérer que nous sommes entrés dans l'ère du post-Mediator. Dans un...

qu'elle prenne la forme d'une aide directe aux étudiants ou de l'organisation par des laboratoires, à la demande de certaines universités, de la préparation des étudiants aux examens classants nationaux. Néanmoins, il nous faut reconnaître un certain nombre d'acquis. Mon premier regret, monsieur le ministre, vous le connaissez : cette réforme...

Je nourris donc les plus grandes craintes à ce sujet, car les décisions de l'Agence européenne sont souvent surprenantes en ce qui concerne le sort de certains médicaments. Toujours est-il qu'aux États-Unis, l'Actos fait déjà l'objet de 13 000 plaintes de victimes. Combien, chez nous ? Ce médicament a pourtant également fait des victimes en Fra...

Nous apprenons en effet que le professeur Alexandre a quitté son poste en 2001 pour passer dans le secteur privé et qu'entre cette date et 2009, il a reçu une rémunération de 1,2 million d'euros de la part du laboratoire Servier soit 150 000 euros par an en moyenne pour donner des conseils sur un certain nombre de médicaments produits par c...

Ce type de comportements est inadmissible et je souhaiterais que vous indiquiez, monsieur le ministre, si la Commission nationale de déontologie a été saisie lorsque le professeur Alexandre est passé dans le privé, en 2001.

Si elle a été saisie, quelles furent ses conclusions ? Si elle ne l'a pas été, le professeur Alexandre est justiciable de prise illégale d'intérêts et, aux termes de l'article 432 du code pénal, il encourt deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende. Monsieur le ministre, vous devez nous apporter tous les éclaircissements nécessaires sur...

Mais je sais la sollicitude que vous pouvez témoigner aux modestes députés qui siègent ce soir. (Sourires.)

M. le ministre a rendu hommage, et il a eu raison, non seulement au docteur Frachon, mais aussi au docteur Chiche, ce cardiologue marseillais, qui avait, le premier, signalé une valvulopathie sous benfluorex.

Eh bien, il faut savoir que sa notification avait été biaisée par le service d'évaluation que dirigeait alors le professeur Alexandre : on l'avait fait passer du caractère probable au caractère douteux. Si l'on veut véritablement rendre hommage à ce lanceur d'alerte que fut le docteur Chiche, il faut faire toute la lumière sur ce conflit d'inté...