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M. Le Bris est un ancien militaire !
, rapporteur suppléant. Avis défavorable. Malgré tout le plaisir que nous aurions eu à satisfaire notre ami Gilbert Le Bris, je note que sa rédaction a oublié les armes chimiques. Le fait que la notion d'« armes de destruction massive » ait été abondamment utilisée par l'administration Bush pour justifier la guerre d'Irak ne constitue pas un a...
À cet instant du débat, je m'interroge sur les postures de certains. J'ai entendu des mots un peu soutenus, mais, depuis des années, peu de choses avaient été faites dans le budget des anciens combattants.
Ce Gouvernement a opéré des avancées, conformes au souhait du Président de la République d'aller vers l'indice 48. Je suis un député qui écoute son Président de la République (Rires et exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
Je souhaite établir le lien entre l'amendement qui accorde un point, qui me semble presque une aumône, et celui qui propose trois points qui est peut-être difficilement réalisable en termes de budget, bien que, hier soir, on ait su trouver des sommes importantes pour d'autres budgets.
J'ai proposé, et la commission a adopté, un amendement proposant d'augmenter la retraite de deux points au mois de juillet. (Applaudissements sur les bancs du groupe NC.) Je maintiens cet amendement, qui serait la juste reconnaissance de ce qu'a été l'engagement de nos anciens combattants, et l'expression du devoir de mémoire. Je ne m'imagine...
J'ignorais que le président Teissier était présent ; alors, j'ai cru nécessaire de venir en tant que membre de la commission de la défense en écoutant les débats. Je crois que cet amendement est une fausse bonne idée.
Vous avez raison de vouloir être généreux. Mais, connaissant un peu les légionnaires pour avoir été avec eux en Afghanistan, je peux affirmer qu'ils ne cherchent pas du tout la nationalité française.
Le problème est le même avec les Français qui, lorsqu'ils entrent dans la Légion, perdent la nationalité française. Ils se voient alors attribuer une nationalité d'emprunt : canadienne, luxembourgeoise, belge, par exemple. Adopter une telle disposition serait catastrophique pour la Légion étrangère.
Je voudrais faire part à mes collègues d'un sentiment personnel : depuis deux jours, le débat est passionnant, mais j'ai l'impression que l'on oppose les bons et les méchants. Le député de la République que je suis ne se retrouve absolument pas dans un débat comme celui-ci. Il n'y a pas ici ceux qui savent et ceux qui ne savent pas. Il n'y a p...
Elle peut en parler sans que certains puissent donner aux autres des leçons de démocratie. Cela me paraît la moindre des choses. S'emparer d'un texte comme celui-ci, c'est le minimum que nos électeurs puissent attendre. Je me souviens d'une époque où un certain parti politique avait remis le Front national en selle grâce au rétablissement du ...
Oui, vous avez instauré la proportionnelle aux élections législatives et cela vous arrangeait bien, monsieur le président Ayrault ! (Vives exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Et qui a supprimé la proportionnelle par la suite ?
Arrêtez de nous donner des leçons. Depuis deux jours, le député que je suis ne se retrouve pas dans ce que vous représentez.
Vous ne proposez rien, vous n'êtes que dans l'obstruction systématique ; vous n'êtes plus dans la politique, vous êtes dans la philosophie. Dans ce genre de débat, on pourrait revenir à l'essentiel de ce qui nous préoccupe : faire la loi. Aujourd'hui, un grand nombre de Français attendent un texte comme celui-ci.
Il ne s'agit pas d'un phénomène de mode. L'agriculture a essayé de se diversifier. Le « bio » a apporté aux agriculteurs une nouvelle façon de produire et d'alimenter. Il faut faire la différence entre la production et la distribution. C'est la raison pour laquelle je défends cet amendement.
Monsieur le président, monsieur le ministre, messieurs les rapporteurs, mes chers collègues, alors que l'agriculture française est confrontée à une crise majeure, le Gouvernement nous présente un projet de loi qui répond à certaines inquiétudes des professions agricoles. Ce texte conditionne l'avenir des filières agricoles françaises au cours d...
Je ne savais pas, en cosignant cet amendement, qu'il déchaînerait de telles passions. Si je l'ai fait, c'est que vous vous étiez engagé, monsieur le secrétaire d'État, à porter cette revendication des anciens combattants. Las, le budget contraint dont vous disposez vous fait faire marche arrière. J'ai estimé que, pour ces hommes et ces femmes ...
On nous répond qu'il est difficile de financer une telle mesure, à moins de prendre sur les crédits destinés à la JAPD. Monsieur le secrétaire d'État, si vous vous engagez ici, devant la représentation nationale et les anciens combattants,
à inscrire trois points dans le budget de l'an prochain, je suis prêt à retirer l'amendement.
Je ne sais pas si cette mesure pourra être financée. Quant à moi, je propose de créer une commission. Une commission de plus, me direz-vous peut-être, mes chers collègues. Aujourd'hui, des hommes touchent moins de prestations que certaines femmes avec l'indemnité compensatrice. Nous pourrions envisager qu'un rapport soit rendu d'ici au mois de...