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En fin de compte, quel est le sujet et pourquoi faut-il rejeter cette proposition de loi ? On ne pose pas le problème de la formation des maîtres. Cette proposition de loi a deux objectifs, comme d'ailleurs la réforme de la formation des maîtres. Le premier, c'est de supprimer les IUFM. Même si le terme existe toujours, ils sont vidés de leur...
Le second objectif, c'est de supprimer 16 000 postes.
Le but est uniquement de faire des économies budgétaires sur le dos de la formation des maîtres. Je n'en dirai pas plus.
Je rappellerai juste deux faits qui militent en faveur du refus de cette proposition de loi. Le premier est le rejet par le Conseil d'État lui-même, le 28 décembre 2011, de cette formation des maîtres pour lancer une longue concertation. En guise de concertation, on a une proposition de loi en urgence. Le second est le rapport de la Cour des co...
Le problème c'est que le Président de la République a fait le contraire de ce qu'il avait dit !
C'est le cas !
Ça leur fait une belle jambe !
Dites-le au ministre !
On l'a lu !
Personne,...
..mais ce n'est pas le problème !
Tout cela parce que vous êtes minoritaires dans l'hémicycle ! Ce n'est pas très glorieux !
Pourquoi regarde-t-il dans notre direction ?
Nous ne sommes pas opposés à une réforme des IUFM : il s'agissait d'une bonne idée à construire, mais certainement pas à détruire. Or c'est ce que vous êtes en train de faire. Lorsque vous nous dites que vous ne voulez pas ouvrir la formation des maîtres à des instituts privés, je veux bien croire que vous êtes de bonne foi, et je le pense mêm...
Concernant cet article, permettez-moi de rappeler que la modification proposée tend à abroger le quatrième alinéa de l'article L. 721-1 qui dispose notamment que « dans le cadre des orientations définies par l'État, les instituts universitaires de formation des maîtres conduisent les actions de formation professionnelle initiale des personnels ...
Si, monsieur le président. Simplement j'ai cru comprendre qu'il y avait quelques doutes sur le vote intervenu précédemment. Je puis bien sûr prendre la parole pour justifier notre demande de suppression de l'article 3, mais je serais au regret de sortir de l'hémicycle avec un doute sur le vote de l'article 2. Cela m'empêcherait de dormir serein...
Je ne suis pas un spécialiste comme vous, monsieur le président, des votes électroniques et encore moins d'ailleurs d'électronique, mais il m'est apparu qu'il n'y avait pas eu de totale concordance entre le vote électronique et celui à main levée.
Je la prends donc, mais pour vous demander s'il y aurait un inconvénient à revenir sur le vote, puisqu'il y a une contestation.
Je reviens avec la sérénité nécessaire sur l'article 3 qui, comme les autres articles, supprime des éléments essentiels du code de l'éducation. Je développerai, hélas, la même argumentation avec la même force et la même inquiétude que pour les deux précédents articles. Pourquoi sommes-nous ici cette nuit ? Telle est la question que je me pose ...
Monsieur le président, je m'adresse solennellement à mes collègues de la majorité : je ne comprends pas du tout cet avis défavorable. Alors que M. le rapporteur nous avait dit que M. le ministre allait préciser sa position, celui-ci s'est contenté d'un bref « Défavorable ! », sans même prendre la peine de se lever. Dans une loi censée, selon s...