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C'est vrai, vous en parlez un petit peu, mais il n'y a pas que le dérèglement climatique. La catastrophe écologique concerne bien d'autres choses, et cela représente beaucoup plus que le PIB. Encore ne peut-on pas tout quantifier, comme je le disais lors des débats sur la loi Responsabilité environnementale. M. Letchimy a cité René Char : en ef...
Il n'y aura pas assez de lithium !
Merci de le rappeler !
Avec les centrales nucléaires ?
Non ! C'était dans la loi Voynet.
C'est la loi de la République !
Bien sûr que si ! c'est le lobby du nucléaire !
En tout cas, pas à l'UMP !
Exactement !
Ah ! Ah !
Non !
Je souhaite cadrer le texte en énonçant quelques principes préalables, à commencer par ceux que le président Sarkozy a posés dans son discours du 25 octobre 2007 : « Premier principe : tous les grands projets publics, toutes les décisions publiques seront arbitrés en intégrant leur coût pour le climat, leur coût en carbone . Toutes les décisi...
La réduction de l'empreinte écologique est le meilleur indicateur. Cette notion a été introduite en 1992, lors de la conférence de Rio, par le Canadien William Rees (Ecological footprints and appropriated carrying capacity). Si le projet ne s'y réfère pas, on aura du lyrisme juridique mais guère de pertinence intellectuelle et politique.
Dans quel sens révisera-t-on les procédures ? On peut par exemple les rendre plus favorables à l'environnement, mais moins démocratiques Il faudrait également préciser la notion d'incidence significative. Quant au caractère raisonnable du coût, devra-t-il s'apprécier du point de vue financier, écologique, social ou économique ? On peut ainsi ...
Le texte qui nous est proposé est « hémiplégique », car il n'aborde qu'à peine la question de la déplétion des ressources non renouvelables.
Les termes de « développement durable » sont un oxymore daté, qui laisse penser à tort que la croissance peut se poursuivre indéfiniment. L'expression de « réduction de l'empreinte écologique » est scientifiquement plus pertinente.
La division par quatre était un objectif proposé par le rapport du GIEC de 2001. Le rapport de 2007 préconise, lui, une division par douze. Une fois de plus, nous sommes en retard. La Commission adopte cet amendement. Elle est ensuite saisie de cinq amendements pouvant être soumis à une discussion commune, tendant à préciser l'objectif de réd...
L'instauration de quotas d'énergie à des tarifs plus abordables aurait des effets pervers. Un riche pourrait bénéficier du tarif social parce que sa vaste maison consomme peu d'énergie. Inversement, une personne vivant en HLM avec six enfants pourrait, elle, en être privée, en raison de la mauvaise isolation de son immeuble. L'instauration d'un...