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d'encadrer nos dépenses publiques par une norme. Une dette publique de 1 600 milliards, une charge de la dette qui chaque année dépasse des budgets aussi essentiels que la défense ou l'éducation : là est la véritable privation de liberté ! Vous prétendez vouloir préserver le modèle français alors que vous le conduisez à sa ruine en refusant ...
Enfin, comment pouvez-vous dire que la maîtrise des dépenses est électoraliste et démagogique
vous qui nous fustigez à chaque fois que nous supprimons une niche fiscale, vous qui poussez des cris à chaque économie de fonctionnement que nous proposons, vous qui descendez dans la rue à chaque réforme de sauvetage de la retraite par répartition ? (Protestations sur les bancs du groupe SRC.)
Je dis ce que nous avons tous constaté, et ce que les Français, heureusement, constatent ! Nous sommes enfin confrontés à un enjeu européen majeur. La France doit retrouver sa capacité pleine et entière de leadership au sein de l'Union pour y faire partager sa vision, qui est différente des positions anglo-saxonnes. Vous connaissez tous ce rap...
Vous allez nous vanter le modèle social japonais ? C'est énorme !
Très bien !
C'est tout le contraire !
Ce gouvernement a dû supporter le poids de la crise !
Absolument !
Tout à fait !
Ce débat a permis de solliciter des dimensions très larges de notre politique économique, fiscale et budgétaire. Le programme de stabilité 2011-2014 s'inscrit dans la poursuite des efforts de réduction des déficits publics. L'objectif de ramener le déficit public à 3 % du PIB en 2013 est considéré par le groupe UMP comme intangible. Il serait i...
quitte nos concitoyens doivent le savoir à mettre en cause la crédibilité de la France notamment vis-à-vis de nos partenaires européens, monsieur le président de la commission. Le programme socialiste ferait courir le risque d'une aggravation de notre capacité de financement, donc d'un accroissement sans freins de la charge de la dette.
Il ferait également courir le risque de voir la dette atteindre 100 % du PIB en 2012, ce qui est aujourd'hui la moyenne, dramatique, de l'ensemble des pays de l'OCDE.
Les intérêts de la dette sont encore, faut-il le rappeler, le premier poste de dépenses, devant la défense et même devant l'éducation. Au regard de notre taux de prélèvements obligatoires, l'un des plus élevés de l'OCDE, chacun le sait, la seule marge de manoeuvre, c'est la maîtrise de la dépense. Cela ne s'appelle pas une politique de la rigue...
Cette majorité, faut-il le rappeler, est la première depuis trente ans à s'attaquer enfin à la réduction de la part des dépenses publiques dans le PIB. Ne pas s'en préoccuper aurait un effet boule de neige et les sacrifices nécessaires pour assurer la solvabilité de l'État seraient considérables : augmentation de la TVA et de la CSG, suppressio...
C'est avec conviction que le groupe UMP votera le programme de stabilité européen proposé par le Gouvernement. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
C'est sans doute pour ça que vous n'avez pas fait la réforme des retraites !
Qu'est-ce que vous avez fait, vous ?
L'islamisme, pas l'islam !
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, Jean-Marc Ayrault a tenté de nous replonger dans la polémique diplomatique et médiatique, mais je préfère suivre la piste rappelée par Alain Juppé, loin de la société du spectacle qui a toujours été animée avec zèle par nos collègues socialistes (Exclamations sur les bancs du grou...