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Oh !
Monsieur le président, je n'aurai pas besoin de deux minutes car l'ensemble de la majorité est évidemment convaincue de ne pas voter cette motion de renvoi. Jean-Pierre Brard,
c'était magnifique d'humour et de logorrhée. Mais c'est le seul hommage que je puisse rendre à votre intervention car derrière vos citations je dois reconnaître qu'une fois de plus, j'ai beaucoup appris , vous avez tenté de masquer une absence totale de démonstration. La conclusion à en tirer est celle que le professeur que vous avez été
face à des élèves insuffisamment travailleurs ou dépourvus d'idées et de raisonnement, et qui font avec la culture qui leur reste ce qu'on fait avec la confiture : moins on en a, plus on l'étale, pour éviter de mettre en lumière la vacuité de son raisonnement. (Exclamations sur plusieurs bancs du groupe SRC.) Ce que vous avez fait aujourd'hui ...
Nous avons tous hâte de pouvoir en discuter directement à partir du texte, sans revenir en commission.
Je le savais, monsieur le président. Vous m'avez démasqué. (Sourires.) (La motion de renvoi en commission, mise aux voix, n'est pas adoptée.)
Ce sera la prochaine étape !
Verre à moitié plein, verre à moitié vide
Très bien !
Pour créer un bon impôt, il faudrait régler l'éternel problème de la quadrature du cercle ; l'impôt doit être rentable, simple à prélever tout en étant le plus neutre possible sur le plan économique et être socialement accepté. À l'évidence, notre architecture fiscale, telle qu'elle s'est façonnée au fil des années et au gré des majorités et de...
Il faut toujours se méfier des donneurs de leçons !
Quel cinéma !
Grand seigneur !
C'est une affabulation !
C'est vous qui le remettez en cause !
C'est un problème de réglage !
Non !
Évidemment, c'est contraignant, mais l'article 40 est contraignant.
Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur de la commission de lois, pour la première fois depuis trente ans, le Gouvernement prend la décision de s'attaquer institutionnellement, et directement, à la dette et aux déficits publics. Nous avons entendu plusieurs types de critiques de ce dispositif proposé par le Gouverne...
C'est précisément pour retrouver cette liberté politique que nous proposons d'imposer à tout le monde, quelle que soit la majorité