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pour les recettes et l'équilibre général. Ça, on a l'habitude de l'entendre !
C'est le déconventionnement qui est à l'ordre du jour.
Je remercie notre ministre de la santé, qui a compris que l'offre de soins sur l'ensemble du territoire était un problème majeur de santé publique que notre pays ne pouvait se permettre de repousser en se contentant de proposer, voire de superposer, des mesures d'incitation économique pour tenter d'encourager les professionnels de santé à s'ins...
Il y a une exigence : il faut que ces états généraux sur la démographie apportent une réponse efficace au risque de désertification médicale. C'est une urgence, une exigence que nos concitoyens nous ont rappelée tout au long de la campagne électorale. Est-il normal qu'il faille faire appel à des médecins étrangers pour pallier le refus de nos f...
..et j'ai pu y lire ceci : « Moi, je crois que le problème principal, dans le domaine de la santé, ce sont les inégalités d'accès à la santé. » Elle a raison. « Il y a des inégalités territoriales qui sont inadmissibles. »
Elle a tout à fait raison ! « Et moi, je suis favorable à la répartition géographique des étudiants lorsqu'ils sortent de l'université. »
« Est-ce tolérable que, dans un département rural, il faille attendre plus d'un an pour avoir un rendez-vous avec un ophtalmo ? » (« Non ! » sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.) « Je crois que ce n'est pas tolérable. » Elle a raison.
« Est-il tolérable que, dans plein d'endroits du territoire, les femmes ne puissent accéder aux conseils d'un gynécologue ? » (« Non ! » sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.) « Ce n'est pas acceptable. »
« Et donc, à partir du moment où l'État, la collectivité nationale, a pris en charge les études en médecine, il faut réfléchir et travailler à une meilleure répartition des médecins sur l'ensemble du territoire national. »
Le journaliste demande alors : « Cela veut dire par des méthodes directives ? ». « Sans doute », répond Mme Royal.
« Comme d'autres professions, peut-être pour une partie de leur carrière, mais en tout cas c'est une proposition précise que je fais. » « Cela ne va-t-il pas décourager encore plus les vocations ? », demande le journaliste. Et Mme Royal répond : « Je ne le crois pas, au contraire ». Voilà, c'est édifiant. Ne venez donc pas nous donner des leço...
C'est vrai !
Les dispensaires, ce n'est pas la même chose !
L'amendement n° 603 est défendu.
Regardez ce que cela veut dire !
Il s'agit d'amendements rédactionnels.
Ah ça, oui ! (Approbations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
La commission n'a pas examiné cet amendement. À titre personnel, j'estime qu'il n'y a pas lieu de procéder à une réforme des cotisations AT-MP au détour d'un amendement.
D'autant que l'accord entre partenaires sociaux intervenu en mars 2007 ne paraît pas satisfaisant, comme vous le soulignez, madame Filippetti dans l'exposé sommaire de votre amendement.