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Merci pour eux ! Comme je viens de l'indiquer, ce projet de loi se fixe notamment comme objectif de renforcer les capacités de prévention de la récidive. Partager le secret n'est pas possible, mais partager l'information est une nécessité. Or l'information ne circule pas. Cette lacune affecte lourdement la prévention de la récidive dans notre...
Mes chers collègues, vos propos sont très livresques.
Le rapporteur est un magistrat d'origine ; je comprends tout à fait. Moi, j'ai eu l'avantage ou l'inconvénient, en tout cas le grand honneur d'être maire
pendant treize ans et demi d'une commune où j'aurais voulu savoir et assumer mes responsabilités. Quels moyens avais-je ? Quand on sait, on peut parer à toute éventualité. Dans le cas contraire, on peut juste dire ensuite « si j'avais su », une expression que j'ai entendue dans la bouche du Premier ministre. Dans certains cas que nous avons c...
Il ne faut pas raconter n'importe quoi !
C'est vrai, monsieur le rapporteur, peut-être cet amendement ne va-t-il pas assez loin. Monsieur le ministre a raison : le dispositif de l'amendement ne se serait pas appliqué à l'affaire de Chambon-sur-Lignon. Seulement, si le maire de la commune avait été préalablement informé, il se serait peut-être demandé s'il était bien normal qu'une pers...
Avec un peu de bon sens, le maire, officier de police judiciaire, représentant de l'État, patron de la sécurité au nom de l'État dans la commune qu'il gère les lois récentes que j'ai déjà évoquées ont encore renforcé ce rôle peut se poser ce genre de question. Chère Marylise Lebranchu, peut-être mon amendement ne va-t-il en effet pas assez...
Selon vous on lui reprochera de ne rien avoir demandé et s'il a demandé quelque chose, on lui fera le reproche de n'avoir rien fait : on ne s'en sort pas. Il reste que sa conscience compte aussi
Quelquefois il faut faire la loi de manière concrète. À force d'avoir peur de soi, on ne fait plus rien. Nous vous proposons d'avancer un peu en donnant la possibilité aux maires qui le veulent de détenir une information importante. Nous ne pouvons rédiger un amendement qui fasse un distinguo entre les communes, mais il me semble que dans les c...
Lamentable !
C'était avant la crise !
Et maintenant vous êtes contre !
Exactement !
Vous ne pouvez pas vous en empêcher !
S'il vous plaît, ne mélangez pas les torchons et les serviettes !
Non, ce sont les faits !
Très bien !
Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission des lois, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, le 29 mai 1998, l'Assemblée nationale adoptait à l'unanimité une proposition de loi comprenant un seul article : « La France reconnaît publiquement le génocide arménien de 1915 ». Il s'agit en l'espèce d'une...
La communauté arménienne n'a pas été épargnée au cours du xxe siècle et ses descendants, nos compatriotes, continuent de porter les stigmates de cette souffrance. Tant que cette loi ne sera pas définitivement votée, notre devoir de parlementaires ne sera pas entièrement accompli. En effet, nous avons tous un devoir de responsabilité vis-à-vis d...
Est-ce lui qui a commis les exactions ? Non, bien évidemment ! Alors, plutôt que de pénaliser l'usage du mot même de génocide chez lui, ou d'essayer de dicter une politique à la France, il ferait mieux de simplement reconnaître ce génocide et de demander pardon, comme l'avait fait, en son temps, le Président Chirac au nom de la France, à propos...