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Interventions en hémicycle de René Dosière


1969 interventions trouvées.

L'amendement n° 90 propose de substituer au mot « excéder » les mots « être inférieur à ». Alors que le Gouvernement considère qu'il ne peut pas y avoir plus de vingt chambres régionales, nous proposons, pour notre part, qu'il ne puisse pas y en avoir moins de vingt. Pour l'heure, les conséquences d'une telle modification sont alternatives. En...

Cet amendement est défendu. (L'amendement n° 91, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)

Cet amendement de précision prévoit la procédure à suivre dès lors qu'il aura été procédé au regroupement d'un certain nombre de chambres régionales. (L'amendement n° 92, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.) (L'article 24 novodecies est adopté.)

Nous tenons à préciser par cet amendement qu'à l'occasion d'une éventuelle réorganisation territoriale des chambres et considérant le statut d'inamovibilité des magistrats des chambres régionales, ceux-ci ne pourront être affectés dans une autre juridiction sans leur consentement. J'espère que l'assemblée comprendra l'intérêt de cet amendement....

J'avais déposé un amendement n° 77 qui n'a plus de raison d'être. Permettez-moi simplement de revenir quelques instants sur ce qu'a dit Michel Bouvard, avant cette brève suspension : l'essentiel est effectivement de donner les moyens aux chambres régionales de travailler. Il a notamment fait allusion aux concours de recrutement dont nous avons...

Ces amendements ne sont pas inintéressants pour les collectivités concernées, mais je ne voudrais pas que l'on s'imagine que les collectivités locales sont très endettées : leur endettement par rapport au PIB n'a pas augmenté depuis environ une vingtaine d'années.

La dette de l'État en revanche augmente depuis quelques années, et singulièrement depuis 2007. Ainsi, à compter du 6 septembre, l'État vivra à crédit jusqu'à la fin de l'année autrement dit durant cent quarante-six jours et sera obligé d'emprunter un peu plus de 200 milliards pour payer ses personnels, rembourser ses intérêts et consolider ...

mais ne nous y trompons pas : c'est l'État qui est mal géré aujourd'hui, et non les collectivités territoriales. (Les amendements nos 56, 57,58 et 59, successivement mis aux voix, ne sont pas adoptés.)