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C'est pourquoi, vous l'aurez compris, le groupe de l'UMP considère cette proposition de loi comme inopportune. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
En l'occurrence, il s'agit tout de même d'une loi constitutionnelle !
Tout à fait !
Ce sont les socialistes !
Tout à fait !
Exactement !
Tout à fait !
Tout à fait !
Ce n'est pas possible : le référendum n'existe pas en Allemagne !
Vous allez changer les institutions allemandes ?
Ségolène Royal est pour la voie parlementaire !
Ségolène Royal est pour la voie parlementaire !
C'est faux !
Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, madame la garde des sceaux, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, je commencerai mon propos par une évidence : il est indispensable de revoir notre édifice institutionnel européen pour l'adapter, enfin, à l'Europe à vingt-sept. Les choses sont claires, nous nous trouvons devant ...
Cet amendement est un cavalier !
En exigeant pour avancer l'accord des trois quarts des États ou presque, il ferme la porte aux solutions ambitieuses et affadit les actions, au moment même où les citoyens, exigent des réponses claires et efficaces aux défis du monde. Pire, le carcan de l'unanimité immobilise l'Union dans des domaines qui appellent des solutions urgentes : la ...
Surtout, la complexité des procédures, l'enchevêtrement des compétences, la part presque inexistante faite aux citoyens entravent l'action et creusent le fossé qui sépare l'Europe de ses peuples. Dans le traité de Lisbonne, il y a des réponses durables à chacun de ces défauts. Je pense d'abord à la nouvelle règle de majorité au sein du Conseil...
Sans visage, l'Europe reste abstraite pour ses citoyens, comme, d'ailleurs, pour les autres peuples. Vous vous souvenez sans doute de la fameuse phrase de Kissinger : « L'Europe, quel numéro de téléphone ? » Il est vrai qu'aujourd'hui, la présidence du Conseil européen change tous les six mois. Dès lors, ni nos partenaires ni nos concitoyens ne...
incarnant le projet européen et lui donnant ses grandes directions ? Tout dépendra de la personnalité du premier président de l'Union, en 2009 (« Tony Blair ! » sur les bancs du groupe de la Gauche démocrate et républicaine), et sans doute lui faudra-t-il cumuler ces deux qualités.
Je suis étonné que Tony Blair soit l'objet de tels sarcasmes sur les bancs de gauche