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Enfin, madame la présidente, je vous remercie, au nom de mon groupe, pour la manière dont vous avez présidé la séance.
En début de séance, un débat a commencé mais il a vite été interrompu , sur le point de savoir s'il était possible de déterminer qui, parmi nos concitoyens, était riche ou ne l'était pas. M. Copé a souhaité réactiver ce débat. Je crois que c'est une erreur car, sur nos bancs, nous ne considérons pas que vous êtes les défenseurs des riches. D...
En l'occurrence, il ne s'agit pas de dizaines de millions d'euros, mais de centaines de millions, voire de milliards.
Monsieur le président, je vais conclure dans quelques minutes. Je vous demanderai respectueusement de ne pas me retirer la parole. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.) Nous avons écouté M. Copé, qui a largement dépassé son temps de parole ; j'aimerais que vous ne m'interrompiez pas. Ce débat est intéressant.
Je conclus. Vouloir épargner les classes moyennes et les appeler à la rescousse, pour défendre, d'une certaine manière, le bouclier fiscal est peu cohérent vous faisiez référence à la cohérence tout à l'heure avec ce que vous avez- vous-même fait ou voté : seize taxes supplémentaires qui ne frappent que les classes moyennes. Quand on rega...
Je conclus, mais si vous souhaitez que l'on demande une suspension de séance, je peux le faire. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Monsieur le ministre, comment expliquez-vous que le Gouvernement ne dise rien de dirigeants qui s'attribuent des plans d'actions de stocks-options par dizaines de milliers, alors même que la Société Générale a été recapitalisée sur fonds publics à hauteur de 2 milliards d'euros et a versé, contrairement aux engagements pris, des dividendes à se...
Autrement dit, alors que des promesses sont faites lors de discours solennels, des actions vont à leur encontre. M. Copé avait souhaité radicaliser les choses entre nous. J'espère que ces propos n'y contribueront pas.
C'est vrai !
Cela a déjà commencé !
Très bien !
Très bien !
Très bien !
C'est pareil dans le Lot-et-Garonne, où l'État nous doit 28 millions d'euros ! (L'amendement n° 65 n'est pas adopté.)
Monsieur le ministre, je me félicite de l'ouverture de crédits pour le fonds d'investissement, an particulier pour les départements antillais. C'était une suggestion que je m'étais permis de soumettre à la réflexion de l'Assemblée en tant que rapporteur spécial. Ce fonds avait été doté d'emblée mais, selon moi, de façon tout à fait insuffisante...
C'est ce que le Sénat a fait !
Démagogie !
Ce n'est pas ce que nous avons dit ; ce n'est pas ce que nous voulons !
Nous n'avons pas ouvert de tels débats !