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Il est bien silencieux !
Très juste !
Les amis coûtent chers !
C'est exact !
Non : seize !
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Je comprends parfaitement la raison pour laquelle le Gouvernement souhaite passer dès à présent à l'examen des amendements que l'on sait. Seulement, dans la mesure où nous ne pensions pas que nous en discuterions maintenant, je demande une suspension de séance.
Et en plus, c'est rétroactif !
Au nom du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, je remercie à mon tour le rapporteur général pour sa réactivité. Sans notre débat de cet après-midi sur les scandaleuses attributions de stock-options à quatre des principaux dirigeants de la Société générale, il eût été peu probable que nous ayons à examiner un tel sous-amendemen...
Très bien !
Absolument !
Monsieur le ministre, pourriez-vous nous indiquer le montant des sommes engagées par la SFEF auprès de la Société Générale pour garantir ces collatéraux et rétablir ainsi le crédit interbancaire ?
Quand ?
S'agissant de la Société Générale, il me paraît intéressant de connaître le chiffre ! (L'amendement n° 81 est adopté.)
Il est défendu. (L'amendement n° 54, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Il est défendu. (L'amendement n° 69, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Non ! Il en manque la moitié !
Le groupe SRC votera contre ce projet de loi de finances rectificative, pour des raisons que nous avons largement développées lors de la discussion des articles. Monsieur le ministre, j'ai pris acte de votre engagement de porter à notre connaissance, demain ou la semaine prochaine, le montant engagé par la SFEF au sein de la Société Générale, ...
Si leur démission ne me paraît pas envisageable, il me semble en revanche qu'ils devraient renoncer à leurs plans de stock-options, ce qui traduirait une certaine prise de conscience, et que vous devriez les y inciter.
Comme M. Copé ! (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)